Trouver le bon endroit et décider de prendre sa place pour apporter le meilleur de ce que nous avons à apporter au monde.
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Comment donner un sens à sa vie ?
Bonjour à toutes et tous, c’est Sébastien.
Un jour, j’ai décidé d’arrêter l’effet tunnel.
J’ai décidé d’arrêter le métro, boulot, dodo.
J’ai décidé d’avoir une vie plus riche, avec du sens, et surtout vouloir vraiment prendre ma part au monde et être au meilleur endroit.
Pour moi, c’était sur l’humain, sur l’accompagnement, sur une partie peut-être spirituelle, développement personnel, tout en liant à des parties pragmatiques sur la gestion du temps, le business puisque l’un ne va pas sans l’autre.
Et un jour, j’ai eu ce déclic de dire « Mais je fais du développement personnel dans ma sphère privée, je fais du business et du mode projet dans ma sphère professionnelle : pourquoi je n’arriverai pas à relier les deux ? ».
Et finalement, c’est ce qui a donné lieu à la naissance du projet Lumerys.
Et je voulais partager avec vous les déclics qui font qu’un jour, on ose avoir une vie qui prend plus de sens.
On pourrait tout d’abord se poser la question : pourquoi donner un sens à sa vie, finalement ?
Si je suis déjà heureux de ma vie ou si je ne m’en plains pas ou si j’ai l’impression que ça va, pourquoi essayer d’aller plus loin ?
Pourquoi se dire « j’ai besoin d’un déclic » ?
Peut-être que vous n’en aurez pas.
Peut-être que vous n’en avez pas besoin.
Mais si vous regardez cette vidéo, peut-être que ceci vous intrigue et peut-être que vous vous dites :
« Moi aussi, j’aimerais bien avoir ce déclic. J’aimerais bien faire autre chose. Je sais que je suis pas totalement à la bonne place mais je ne sais pas forcément où aller. Et peut-être que j’aimerais comprendre pourquoi certains ont des déclics, pourquoi je n’en ai pas et pourquoi il serait peut-être nécessaire que j’en ai un. Qu’est-ce que ça pourrait m’apporter ? ».
Eh bien cette vidéo va essayer d’aborder tout cela.
Un jour, Mère Teresa demande à un père jésuite : comment trouver sa vocation ? Puisque évidemment, c’était une sœur et elle cherchait.
« Quelle est ma vocation ? Bien sûr, je peux être sœur. Je peux être peut-être dans une démarche différente que d’être dans une dimension d’entreprise, d’organisation ou d’association. Mais comment trouver ma véritable vocation ? ».
Et ce père jésuite lui a dit une chose fantastique : « Tu trouveras ta vocation dans la joie ».
Et finalement, la joie, qu’est-ce que c’est ? Eh bien la joie, ce n’est pas favoriser l’isolement car certes je vais avoir un calme intérieur, je vais pouvoir aller en profondeur, un temps en tout cas, mais je ne trouverai pas forcément la joie.
De même si je veux absolument accomplir quelque chose.
Si c’est vraiment important pour moi mais que ce n’est qu’important pour moi, c’est un problème parce que là, je suis dans l’égo, et auquel cas je ne vais pas non plus m’accomplir, je ne vais pas donner forcément plus un sens à ma vie.
Ce qui est très important, c’est de mixer les approches :
Alors, peut-être que la première clé est celle-ci : c’est que je ne sais pas vraiment pourquoi je suis là.
Même si j’ai une petite idée, je n’ai pas choisi de naître, c’est évident.
J’ai pas envie de parler non plus de vie antérieure parce que ce n’est pas le débat de cette vidéo.
Mais en tout cas, si je suis là, c’est pour donner un sens fort à ma vie, avoir une vie riche, pleine de sens et avoir l’impression, peut-être au dernier jour de ma vie, de me dire :
« J’ai contribué suffisamment. J’ai fait ce que j’avais envie de faire. Je n’ai pas été qu’égocentré. J’ai essayé de contribuer à la planète. J’ai essayé d’améliorer les choses. Bref, j’ai essayé d’apporter ma pierre à l’édifice, et du mieux que je peux. J’espère que je n’aurai pas de regrets. Et chaque jour qui passe, j’essaye d’avoir moins de regrets que la veille et d’essayer un certain nombre de choses ».
C’est pour ça qu’il est important d’oser, d’oser aller vers ce qui vous fait vibrer ici.
Vibrer, c’est évidemment dans votre ventre, mais c’est surtout vibrer dans votre cœur, parce que la vibration mentale est intéressante, mais elle ne peut rester que mentale.
Et je ne vibre réellement que si je vibre dans mon corps, et essentiellement dans mon cœur (à ce sujet, je vous invite à découvrir l’article sur la cohérence cardiaque).
Est-ce que vous vous êtes déjà posé ces questions :
Pour moi, ces questions sont essentielles parce que c’est déjà prendre conscience de notre existence.
Quand nous sommes dans des effets tunnel, en mode robot, en mode métro, boulot, dodo ou tout autre mode, on ne se pose plus la question et c’est bien là le problème.
Donc se poser cette question régulièrement va vous permettre petit à petit de sortir du mode robot et de trouver des réponses.
C’est essentiel.
Quand on évite cette question, quand on ne veut pas y répondre, quand on choisit de baisser la tête au moment où on vous pose cette question, c’est finalement une partie de vous qui s’éteint. C’est une flamme qui diminue de jour en jour.
Oui, je peux faire des choses dans la vie, mais est-ce que je suis ces choses là ? Est-ce que je suis dans l’être ?
Quand je suis dans l’être, j’ai besoin de beaucoup moins agir pour faire les choses.
Les choses viennent plus naturellement et je vais même pas avoir l’impression de travailler.
Je vais même pas avoir l’impression d’agir que j’agirai parce que rien que mon comportement d’être va générer une aura et va inspirer d’autres personnes sur le chemin.
Donc, est-ce que vous fuyez cette question ou est-ce que vous allez vers cette question en tentant d’obtenir des réponses ?
Ces réponses-là vont vous aider à vous oxygéner.
Je ne dis pas que ce sera pas difficile de temps en temps, que vous n’aurez pas des tempêtes au moment où vous allez chercher ces réponses parce que ce sera pas toujours évident.
Y aura parfois un point d’interrogation qui va revenir plusieurs fois en disant « je sais toujours pas ».
Mais j’ai envie de dire : écoutez un petit peu plus votre cœur. Recentrez-vous. Demandez-lui finalement qu’est-ce qui vous plait le plus.
Et peut-être que ça n’a rien à voir avec du business pour le moment.
Peut-être que ça n’a rien à voir avec une activité professionnelle pour le moment.
Avec Marylise, on parle souvent du « OU » à proscrire pour favoriser le « ET », le « ET » parce qu’aujourd’hui, une activité, une passion, un désir peut se transformer en activité professionnelle. Vous pouvez réussir à lier les deux.
À partir du moment où vous êtes pleinement connecté et que vous pensez à l’apport à l’autre, eh bien vous pouvez évidemment trouver le moyen de vivre de votre talent, de vivre de votre désir, de vivre de votre rêve parce que votre rêve sera connecté aux autres.
Et sachez que le meilleur moyen d’avoir de l’oxygène à pleins poumons, de l’abondance, c’est d’être connecté à ses rêves et à ses désirs, et de petit à petit pas après pas, de se diriger vers votre rêve.
Si votre rêve, c’est de ne gagner que de l’argent, a priori un jour vous serez rattrapé par la patrouille parce que l’argent, c’est un moyen, ce n’est pas un but.
Tout comme le bonheur, ce n’est pas un objectif, c’est le chemin.
Si vous étiez à la bonne place, ne seriez-vous pas plus heureux ?
C’est la question que j’ai envie de vous poser.
Mais j’aimerais vous en pauser une autre : aujourd’hui, comment pourriez-vous évaluer votre niveau de bonheur de 0 à 10 ?
Je vous laisse réfléchir à cela.
J’espère que vous avez choisi votre note. Se situe-t-elle autour de 0 à 5, entre 5 et 7 ou entre 7 et 10 ?
Peut-être que vous pouvez demander à vos proches comment vous aider, sur quoi ils vous voient meilleur(e) que les autres, sur quoi ils vous sentent vibrer. comment ils pressentent vos passions, vos talents.
Demandez-leur parce que peut-être que vous aurez un déclic et peut-être ceci peut remonter à votre enfance.
Et peut-être que vos parents, peut-être que ceux qui vous ont élevé, peut-être même d’anciens professeurs pourront vous dire : « Mais oui ! T’étais très fort à ça. Mais oui, t’as complètement lâché ça, et parce que t’as été vexé, parce que t’as été blessé ».
Mais reconnectez-vous à ça parce que donner un sens à sa vie permet d’avoir une vie plus heureuse et de monter dans le barème de notation.
Bien sûr, l’idée, c’est pas de mettre une note sur son bonheur, mais c’est juste un moyen conceptuel de se rendre compte de là où on en est sur son propre bonheur.
Pourquoi tant d’hommes et de femmes qui vivent dans des pays moins bien riches que nos pays, qui n’ont pas grand chose, qui sont même assez pauvres, sont plus heureux que nous ?
Parce qu’ils vivent avec l’essentiel, à savoir la connexion à soi et aux autres, et l’amour qui s’en dégage.
S’il n’y a pas d’amour dans ce que vous faites, s’il n’y a pas assez de joie comme Mère Teresa en a parlé, il se peut que vous soyez beaucoup moins heureux que des personnes qui n’ont rien de tout ça.
Souvent, l’Homme a décidé de compenser son manque de bonheur pas plus de biens matériels, d’activité, toujours plus, toujours plus.
Alors que finalement, pour être heureux, il faut cultiver le moins, c’est-à-dire enlever tout ce qui est superflu et revenir vraiment à l’essentiel.
Ici, je tourne dans la cour de mon immeuble qui est magnifique. Y a des oiseaux, y a des chats, y a plein d’insectes, y a plein de belles plantes.
Et quand je viens ici, même si j’habite à Paris, je retourne à mon essentiel.
Et cette vidéo-là est tournée dans une période de confinement (peut-être que dans 10 ans, on verra cette vidéo d’une manière complètement différente). Mais aujourd’hui, c’est le confinement du coronavirus.
Et j’ai la chance d’avoir cette cour-là et j’en ressens pleinement la joie parce que je me dis « Waouh ! Qu’est-ce que j’ai comme chance d’être là à ce moment-là ».
Et toutes les choses de ma vie qui ne sont pas connectées à cette joie-là :
Et peut-être qu’avant le confinement, j’avais tendance à oublier ça.
Peut-être qu’avant le confinement, j’avais tendance, moi aussi, à être dans des effets tunnel.
Peut-être qu’avant le confinement, je ne me requestionnais pas tous les jours sur quel sens je veux donner à ma vie.
Pourtant, c’est une question qui est permanente chez moi.
Mais peut-être que j’avais tendance à la balayer, moi aussi, à la fuir un petit peu en disant « J’ai déjà trouvé, c’est bon ».
Mais on a trouvé jusqu’au jour d’après où on peut se requestionner. Et se requestionner permet d’affiner son projet.
Donc je sais pas si cette vidéo vous convaincra de le faire, mais en tout cas moi, cette question, je me la pose très régulièrement : comment je peux donner plus de sens à ma vie ? Et pouvoir mesurer cette note permet de m’aider.
Peut-être un point supplémentaire qui est très important aussi, c’est : qu’est-ce que je veux laisser aux générations futures ?
Parce que moi, je ne suis qu’un petit bout de l’existence, un micro bout, j’ai envie de dire.
J’ai un début, j’ai une fin qui très courte à l’échelle de l’humanité, à l’échelle de l’univers.
Donc qu’ai-je envie de transmettre aux générations futures ?
Et si vous avez des enfants, cette question est encore plus prédominante.
Qu’ai-j’ai envie de leur laisser comme planète, comme environnement, comme enseignements ?
Comment ai-je envie de les inspirer ?
Même s’ils feront des choses totalement différentes, je peux les inspirer humainement, je peux les inspirer parce que je suis dans l’être. Je peux les inspirer parce que j’ose être moi-même.
Si vous osez des choses, il est probable que vos enfants feront la même chose.
Donc au dernier jour de ma vie, qu’est-ce que j’aurai envie de dire à une personne proche ?
Qu’est-ce que j’aurai envie de lui exprimer par rapport à mon expérience, à ce que j’ai vécu ?
Eh bien plus vous vivrez de choses, plus vous pourrez transmettre des choses, plus vous pourrez être dans la contribution en sachant que tout ce que vous ferez pour la suite aidera vos proches, aidera vos générations futures et les gens que vous aimez à construire eux-même leur propre expérience et un monde plus neuf, plus en harmonie, plus doux et où la nature reprend ses droits quelque part, mais dans la joie, la bonne humeur et la beauté de la vie.
Donc peut-être pour conclure, donner un sens à sa vie, pour moi, c’est :
Vous l’avez compris, cette question est primordiale dans la vie de tous les jours. Et on devrait se la poser beaucoup plus souvent.
On devrait nous l’enseigner à l’école.
Je vous invite aussi à regarder nos autres articles et vidéos, très complémentaires, sur l’identité et la loi d’attraction qui vont vous aider à comprendre que vous pouvez influer sur le monde.
Si vous changez, le monde changera.
À très vite.
ENTREPRENEURS INDÉPENDANTS (coachs, experts, thérapeutes…) :
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