8 lois du subconscient qui vous limitent

Ces 8 lois du subconscient que nous vous partageons dans cet article limitent sûrement votre vie à votre insu. Nous vous donnons donc également quelques conseils pour vous aider à changer cela pour une vie plus épanouie.

 

1ère loi

 

Pour commencer je voulais parler de la loi de l’attention. C’est une loi selon laquelle notre subconscient va accorder une place à des pensées négatives ou à des pensées positives en fonction de l’attention que nous-même allons accorder à ces éléments c’est-à-dire que tout ce sur quoi je porte mon attention va s’amplifier. Cette loi de l’attention est donc un encouragement à être conscient, le plus souvent possible, de ce sur quoi on porte notre attention.

 

2ème loi

 

La seconde loi de notre subconscient est la loi de l’autosuggestion. Sans nous en rendre compte toute la journée nous nous suggérons un certain nombre d’éléments. Sûrement des pensées négatives, des pensées limitantes telles que « je ne suis pas si », « il est comme ça », « le monde est comme ça », « mes croyances sont ça ». En d’autres termes, on s’auto-suggère et on s’auto-croit. A l’inverse si on arrive à repérer toutes ces autosuggestions, nous pouvons les inverser et les transformer en autosuggestions positives comme des mantras à l’intérieur. Je peux me les réciter à l’oral mais je peux aussi me les réciter de manière intérieure. Et si je prends le contrôle sur la suggestion d’autosuggestions alors je peux changer mon destin, ma destinée, ma vie, mes pensées, mes actes, mes ressentis.

 

3ème loi

 

La troisième loi de notre subconscient est la loi de la répétition c’est-à-dire que la répétition d’actions, de pensées, de comportements, va ancrer des éléments dans notre subconscient. Donc plus nous répétons plus nous transformons notre subconscient. C’est donc une véritable invitation à savoir et à s’interroger sur ce que nous répétons de façon consciente pour que l’inconscient puisse graver tout ce qui est le plus positif pour nous.

 

4ème loi

 

La quatrième loi c’est la loi de l’émotion. Cette loi est marquante parce que tout ce qui est imbibé d’une forte émotion que ce soit de joie, de haine, ou de peine va se marquer profondément dans notre inconscient. Donc si je ne fais pas attention à ces émotions fortes, surtout négatives, et que je les laisse s’imprégner dans mon inconscient sans rien faire alors je risque d’avoir des croyances et des schémas limitants. On parle parfois de traumatisme. Le traumatisme c’est une émotion fortement négative donc la question qui se pose c’est comment je pourrais enlever les émotions négatives et favoriser les émotions très positives dans ma vie pour imprimer le subconscient avec ce que je choisis d’imprimer.

 

5ème loi

 

La cinquième loi c’est ce qu’on appelle la loi de l’imagerie mentale c’est-à-dire qu’en fonction de ce que je vais visualiser, je vais imprimer des éléments soit d’une nature positive soit d’une nature négative dans mon subconscient. Si je prends un exemple tel que visualiser un succès et on pourrait même dire au-delà de la visualisation le ressentir, cela permet d’amplifier par exemple la confiance en soi. Soyez aux manettes de ce que vous visualisez, de ce que vous ressentez pour le futur parce que votre inconscient va encapsuler des éléments qui vont vous être favorables ou des éléments qui vont vous être défavorables.

 

6ème loi

 

La sixième loi est la loi de l’attraction. Si je veux attirer à moi une vie différente, des choses différentes, des événements différents, des personnes différentes alors je dois vibrer en moi des éléments différents. La loi de l’attraction c’est à la fois porter son intention et à la fois vibrer et visualiser. C’est tout cela en même temps. Comment attirer quelque chose à soi ? Eh bien si j’arrive à me mettre sur la même fréquence. Et je me mets sur la même fréquence si je vibre, je visualise et je focalise sur cette fréquence-là.

 

7ème loi

 

La septième loi c’est la loi de l’habitude c’est-à-dire selon cette loi les habitudes vont s’ancrer dans notre subconscient et là encore vous vous aurez compris qu’il y a des habitudes qui vont être favorables et des habitudes qui vont être défavorables. Donc la proposition qu’on pourrait vous faire, c’est de vous poser la question des routines que vous souhaitez mettre en place. Ce n’est pas une question de temps ni d’intensité, mais plutôt une question de régularité. Quelles sont les routines que vous avez envie de mettre en place pour vous rapprocher de ce qui est favorable et positif pour vous au quotidien et c’est véritablement la récurrence qui petit à petit va pouvoir transformer votre subconscient.

 

8ème loi

 

La huitième est la loi de la croyance. Il se trouve que votre subconscient c’est 95 % de fonctionnement automatique donc pour ce fonctionnement automatique le subconscient a dû enregistrer un certain nombre de règles qui sont basées sur des croyances puisque nous avons tous des perceptions du monde de manière différente. veut bien dire qu’on nous a enseigné une perception du monde. La question c’est quelle croyance j’ai sur l’argent, sur le pouvoir, sur le monde, sur la Terre, sur les êtres humains, sur le management, sur l’entreprise, etc. Je suis forgé de croyances. Comment repérer ces croyances et qu’est ce qui peut être mis en place pour les changer. Qu’est-ce que j’ai envie surtout de changer et pourquoi ? Parce que souvent le pourquoi nous aide à changer.

 

 

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Reprogrammer son cerveau en 8 minutes

lumerys apprendre à reprogrammer son cerveau

Reprogrammer son cerveau en 8 minutes ? Pourquoi 8 minutes ? Parce qu’on peut déjà mener des actions en moins de 10 minutes grâce à quelques questions et quelques petits ateliers à faire. Vous allez voir que vous aurez enclenché le sujet et après vous allez continuer, donc au moins 10 minutes on peut avancer. C’est parti !

 

Alors pourquoi reprogrammer son cerveau ? Parce que la vie que nous avons tous les jours est le résultat de nos croyances. Ainsi, si nous ne sommes pas satisfaits de notre vie, de notre niveau de vie, de notre épanouissement c’est peut-être que nous sommes soumis à des croyances limitantes. Certaines dont vous avez conscience et peut-être que d’autres croyances sont cachées en vous et que vous ne les avez jamais remarquées, pourtant elles sont bien présentes.

 

Comment peut-on ressentir cela ? Eh bien par exemple si on a l’impression d’avoir un plafond de verre c’est à dire un plafond qu’on n’arrive pas à dépasser malgré les efforts, malgré les heures de travail. Et donc il est probable que vous ayez des croyances bien ancrées qui vous limitent tous les jours.

 

Donc si vous cherchez à faire de votre vie une meilleure vie c’est-à-dire avoir un meilleur tournant de vie pour vous, plus dans une direction de cœur, avec de meilleurs résultats, alors je vous propose de regarder des exemples de croyances limitantes déjà pour voir si parmi certaines vous en cochez quelques-unes.

 

Exemples de croyances limitantes

On s’entraîne ensemble. Vous allez les cocher. Vous allez noter combien déjà sont valables pour vous.

 

Première croyance : avoir trop d’argent c’est être une mauvaise personne. Est-ce que vous cochez ou pas ?

 

Deuxième croyance : vivons caché vivons heureux. Est-ce que vous cochez ou pas ?

 

Troisième croyance : le pouvoir amène à toutes les dérives.

 

Quatrième croyance : le monde professionnel est un monde de requins.

 

Cinquième croyance : telle personne est une mauvaise personne. Est-ce que vous avez déjà pensé cela ?

 

Sixième croyance :  je dois travailler plus pour gagner plus ou je dois faire des efforts pour m’intégrer dans un groupe ou mon projet doit être finalisé à 100 % avant d’être lancé.

 

Septième croyance : un prix bas est plus intéressant qu’un prix élevé ou le démarrage d’un couple est toujours mieux.

 

Vous voyez que ce sont des croyances. Ce qui est important de comprendre c’est quelles sont les croyances que vous avez cochées.

 

Si vous en avez coché quelques-unes c’est déjà un bon début parce que c’est ce qui va permettre le premier travail ensemble.

Comment reprogrammer son cerveau ?

Déjà il est important de comprendre le fonctionnement du cerveau. Le fonctionnement du cerveau c’est une base de données qui a enregistré tout de votre enfance jusqu’à maintenant.

 

Et toutes ces informations ont été stockées dans des cases bien précisément pour assurer votre survie ce qui est bien ce qui est mal, ce qu’il faut faire, ce qu’il ne faut pas faire, comment il faut se conduire en société.

 

Et donc vous voyez que tout ça, ce sont des interprétations que vous avez vues lors de votre éducation avec vos parents, avec vos proches, éventuellement avec des tuteurs et puisque vous étiez enfant vous avez pris pour argent comptant c’est le cas de dire tout ce qui vous a été montré ou dit.

 

Mais en arrivant un petit peu plus tard dans votre vie, à l’école, dans les enseignements supérieurs éventuellement ou dans la vie professionnelle vous allez voir qu’il y a des croyances qui ne sont plus vraies ou alors il y a des croyances qui rentrent en conflit avec d’autres parce que d’autres personnes ont eu une autre éducation et c’est intéressant de comprendre que votre cerveau a enregistré des croyances.

 

Et pourquoi on dit croyances ? Parce que ce n’est pas forcément la norme c’est juste quelque chose que je crois. C’est l’histoire que je me raconte. Et donc puisque c’est une histoire vous l’avez compris je peux la changer.

 

Je donne un exemple maintenant : l’argent c’est bon ou c’est mauvais ? Tout dépend de notre croyance. Je vais donner un autre exemple. Souvent nos clients pensent que pour gagner plus il faut travailler plus. C’est complètement faux. On a prouvé à une cliente que pour gagner plus elle devait travailler moins, travailler mieux et être plus épanouie au travail. Elle a doublé ses revenus.

 

Donc qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que quand j’ai une croyance fermement ancrée en moi je ne cherche même pas à la déloger. Mais à partir du moment où je fais appel à quelqu’un où j’essaye moi-même, ce qu’on va vous proposer, de la déloger alors il peut se passer de très belles choses pour vous mais il faut s’autoriser à la déloger.

 

Deuxièmement je vous invite à lister toutes vos croyances limitantes. J’en ai listé quelques-unes tout à l’heure mais vous en avez sûrement d’autres en tête ou en vous et que vous connaissez peut-être déjà.

 

Et de faire la même chose ensuite avec toutes vos croyances. Quelles sont mes croyances ? Elles ne sont peut-être pas limitantes au sens où vous le pensez donc c’est pour ça que je vous dis toutes vos croyances parce qu’il se peut qu’elles soient limitantes mais que vous ne le sachiez pas. Donc quelles sont les autres croyances que vous pouvez avoir ? Prenez 5 minutes pour le faire.

 

En troisième étape je vous invite à choisir une seule croyance limitante majeure pour laquelle vous avez envie de travailler et le travail ça va être de lister trois exemples qui contredisent cette croyance.

 

Par exemple il faut travailler plus pour gagner plus. Eh bien trouvez trois exemples de

personnes connues, pas connues, dans votre entourage, mondialement connues qui travaillent autant voire moins que vous et qui ont bien plus de résultats.

 

Je pourrais par exemple prendre Warren Buffett, l’homme le plus riche, un des hommes les plus riches au monde en milliards. Est-ce que vous pensez qu’il travaille des milliards de fois plus que vous ? Bah la réponse est forcément non. Il n’a que 24 heures et il doit bien dormir comme tout le monde. Donc comment fait-il cet homme-là ?

 

Dans la quatrième étape maintenant je vais vous apprendre à détecter les mécanismes pour inverser cette croyance-là. Par exemple si vous avez choisi la croyance « travailler plus pour gagner plus ». Comment pourriez-vous décrypter les mécanismes d’autres personnes pour travailler moins et gagner plus ?

 

Ce serait intéressant de décortiquer puisque tout est le résultat de causes-conséquences. Si

la conséquence est qu’il gagne plus que vous en travaillant moins quelles ont été les causes c’est-à-dire quels ont été les éléments qu’il a mis en place pour.

 

Je vais vous lister quelques questions qui vont peut-être permettre de vous orienter.

  • Est-ce que je peux me spécialiser davantage ?
  • Est-ce que je dois prendre davantage confiance en moi pour demander un meilleur tarif de mon offre ou oser demander une augmentation ?
  • Est-ce que je dois me former en leadership et en charisme par exemple parce que on sait que les personnes qui rayonnent gagnent mieux leur vie ou est-ce que je pourrais épargner davantage ? Parce que gagner plus ça pourrait être épargné davantage
  • Comment dépenser moins chaque mois, moins inutilement.

Donc vous voyez que là j’ai listé juste quelques questions mais vous pourriez en lister 30.. Et ce qui est intéressant c’est que ces élément- là sont de futures actions que vous pourriez mettre en place.

 

Vous voyez que d’une croyance limitante on passe à une croyance qu’on appelle élevante c’est à dire contraire, qui va élever le débat qui va vous aider à avoir une case plus grande dans laquelle vous allez pouvoir jouer et vous allez lister des actions qui vont vous permettre d’occuper totalement cette case.

 

Donc maintenant avez-vous choisi une à deux actions que vous allez mener pour obtenir la croyance inverse de départ. Au quotidien c’est très intéressant d’apprendre à repérer ces questions polluantes et à bannir : est-ce que je vais réussir, est-ce que c’est possible de…

 

Vous voyez que quand on dit ça il y a déjà une grande partie de la réponse qui est « bah non c’est pas sûr » et boum tout est plombant. Je vous invite à remplacer le « est-ce que » ou même le « si » par « comment ». Comment mettre en place un plan d’action pourobtenir…Le « comment » est tout de suite dans l’action c’est-à-dire on sait que c’est possible, on ne sait pas encore comment, c’est différent. Donc le comment va vous amener toujours à des réponses.

 

Donc pensez toujours à avoir ce réflexe quand votre cerveau vous dit est-ce  que..non non. Comment ? Et vous reformulez la question. Et plus vous allez le faire plus vous allez gagner en confiance en vous et plus vous allez gagner en réussite et donc élever vos croyances.

Plan d’action 90/90

Et maintenant je vous invite à avoir un plan d’action ce qu’on appelle 90/90 ça veut dire quoi ?

 

Cela veut dire que pendant 90 minutes chaque jour pendant 90 jours vous allez reprogrammer votre cerveau. Si vous pensiez que l’argent c’est difficile à obtenir par exemple ou que travailler plus pour gagner plus est une croyance qui s’observe dans le monde eh bien c’est de définir l’inverse ; que l’argent c’est facile à obtenir et qu’on peut travailler beaucoup moins en gagnant beaucoup plus.

 

Et que si vous gardez cette phrase, ce mantra en tête et que chaque jour pendant 90 minutes vous cherchez à passer à l’action, à trouver des petites astuces, à développer votre mindset, votre confiance vers ce mantra alors au bout de 90 jours il va commencer à se passer quelque chose.

 

Vous allez développer une autre identité, devenir une nouvelle personne. Enfin je vous conseille de consulter des spécialistes, de très bons hypnothérapeutes ou des techniques comme l’EMDR par exemple qui vous permettent de balayer des traumatismes ou des croyances fortement ancrées plus rapidement que de le faire soi-même, même si le faire soi-même on peut bien sûr y arriver avec un petit peu plus de temps.

Conclusion

Si vous travaillez un petit atelier de 8 minutes, vous pouvez déjà commencer à lister des croyances en prenant une croyance majeure. Trouver la contre croyance et les quelques actions que vous pouvez démarrer avec la question : comment pourrais-je ? Vous allez voir que c’est assez magique à partir du moment où vous démarrez, imaginez dans deux ans, dans trois ans ce que ça peut donner. Cela peut donner quelque chose d’incroyable.

 

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Reprogrammer son cerveau

reprogrammer son cerveau en 8 minutes

Notre quotidien est le résultat de nos croyances. Si certains éléments de ma vie quotidienne ne me conviennent pas ou plus, si certains événements négatifs se reproduisent, alors je dois changer certaines croyances. La bonne nouvelle ? Notre cerveau est une basse de données géante et nous avons le pouvoir de nous libérer des informations que nous ne souhaitons plus. Je vous partage ici mes conseils pour vous aider à vous séparer de vos croyances limitantes et vous aider à reprogrammer votre cerveau.

 

Quelques exemples de croyances limitantes

Si vous cherchez à faire de votre vie une meilleure vie c’est-à-dire avoir un meilleur tournant de vie pour vous, plus dans une direction de cœur, avec de meilleurs résultats, alors je vous propose de regarder des exemples de croyances limitantes déjà pour voir si parmi certaines vous en cochez quelques-unes.

  • Première croyance : avoir trop d’argent c’est être une mauvaise personne. Est-ce que vous cochez ou pas cette croyance limitante ?
  • Deuxième croyance : vivons caché vivons heureux. Est-ce que vous cochez ou pas
  • Troisième croyance : le pouvoir amène à toutes les dérives.
  • Quatrième croyance : le monde professionnel est un monde de requins.
  • Cinquième croyance : X ou Y c’est-à-dire une personne est une mauvaise personne. Est-ce que vous avez déjà pensé ça de quelqu’un ?
  • Sixième croyance : je dois travailler plus pour gagner plus ou je dois faire des efforts pour m’intégrer dans un groupe ou mon projet doit être finalisé à 100% avant d’être lancé.
  • Septième croyance : un prix bas est plus intéressant qu’un prix élevé ou le démarrage d’un couple est toujours mieux.

 

Vous voyez donc que ce sont des croyances. Ce qui est important de comprendre c’est quelles sont les croyances que vous avez cochées. Si vous en avez coché quelques-unes c’est déjà un bon début parce que c’est ce qui va permettre le premier travail.

Comment reprogrammer son cerveau ?

Avant tout il est important de comprendre le fonctionnement du cerveau. Le fonctionnement du cerveau c’est une base de données qui a enregistré tout de votre enfance jusqu’à maintenant. Toutes ces informations ont été stockées dans des cases bien précisément pour assurer votre survie. Ce qui est bien et ce qui est mal. Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire, etc.

 

Ce sont des interprétations que vous avez vues lors de votre éducation avec vos parents, avec vos proches et puisque vous étiez enfant vous avez pris pour argent comptant tout ce qui vous a été montré ou dit. Mais plus tard dans votre, vous allez voir qu’il y a des croyances qui ne sont plus vraies ou alors il y a des croyances qui rentrent en conflit avec d’autres parce que d’autres personnes ont eu une autre éducation et c’est intéressant de comprendre que votre cerveau a enregistré des croyances.

 

Pourquoi parle-t-on de croyances ? Parce que ce n’est pas forcément la norme mais simplement quelque chose que je crois. C’est l’histoire que je me raconte. Et donc puisque c’est une histoire – vous l’avez compris – il est possible de la changer.

 

Par exemple, l’argent, est-ce bien ou non ? Tout dépend de notre croyance. Je vais donner un autre exemple. Souvent nos clients pensent que pour gagner plus il faut travailler plus. C’est complètement faux. On a prouvé à une cliente que pour gagner plus elle devait travailler moins, travailler mieux et être plus épanouie au travail. Elle a doublé ses revenus. Donc qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie que lorsque j’ai une croyance fermement ancrée en moi je ne cherche même pas à la déloger. Mais à partir du moment où je fais appel à quelqu’un où j’essaye moi-même de la déloger alors il peut se passer de très belles choses pour vous mais il faut s’autoriser à la déloger.

 

Lister vos croyances

A présent je vous invite à lister toutes vos croyances limitantes que vous avez repérées. J’en ai listé quelques-unes ci-dessus mais vous en avez sûrement d’autres en tête ou en vous et que vous connaissez peut-être déjà. Ensuite listez toutes vos croyances. Quelles sont mes croyances ? Elles ne sont peut-être pas limitantes au sens où vous le pensez donc c’est pour ça que je vous dis toutes vos croyances parce qu’il se peut qu’elles soient limitantes mais que vous ne le sachiez pas. Donc quelles sont les autres croyances que vous pouvez avoir ?

 

Ensuite, je vous invite à choisir une seule croyance limitante majeure pour laquelle vous avez envie de travailler. Le travail consiste à lister trois exemples qui contredisent cette croyance.

 

Par exemple il faut travailler plus pour gagner plus. Trouvez trois exemples de personnes connues, pas connues, dans votre entourage ou mondialement connues qui travaillent autant voire moins que vous et qui ont bien plus de résultats.

 

Maintenant je vais vous apprendre à détecter quelque part les mécanismes pour inverser cette croyance-là. Par exemple si vous avez choisi « travailler plus pour gagner plus ». Comment pourriez-vous décrypter les mécanismes d’autres personnes pour travailler moins et gagner plus ? Ce serait intéressant de décortiquer puisque tout est le résultat de causes- conséquences. Si la conséquence est qu’ils gagnent plus que vous en travaillant moins quelles ont été les causes c’est-à-dire quels ont été les éléments qu’ils ont mis en place pour.

 

Je vais vous lister quelques questions qui vont peut-être permettre de vous orienter.

  • Est-ce que je peux me spécialiser davantage ?
  • Est-ce que je dois prendre davantage confiance en moi pour demander un meilleur tarif de mon offre ou oser demander une augmentation ?
  • Est-ce que je dois me former en leadership et en charisme ?
  • Est-ce que je pourrais épargner davantage ? Parce que gagner plus ça pourrait être épargné davantage
  • Comment dépenser moins chaque mois, moins inutilement ?

 

J’ai listé quelques questions ici mais vous pourriez en lister beaucoup plus. Et ce qui est intéressant c’est que ces éléments-là sont de futures actions que vous pourriez mettre en place. Ainis d’une croyance limitante on passe à une croyance élevante c’est-à-dire contraire qui va élever le débat et qui va vous aider à avoir une case plus grande dans laquelle vous allez pouvoir jouer et vous allez lister des actions qui vont vous permettre d’occuper totalement cette case.

Passer du « est-ce que » au « comment »

Avez-vous choisi une à deux actions que vous allez mener pour obtenir la croyance inverse de départ ? Au quotidien c’est très intéressant d’apprendre à repérer ces questions polluantes et à bannir comme par exemple est-ce que je vais réussir ou est-ce que c’est possible de. Vous voyez qu’il y a déjà une grande partie de la réponse qui est « non ce n’est pas sûr » et tout devient plombant.

 

Je vous invite donc à remplacer le « est-ce que » ou même le « si » par « comment ». Comment mettre en place un plan d’action pour obtenir tel résultat ? On est tout de suite dans l’action c’est-à-dire on sait que c’est possible. On ne sait pas encore comment, c’est différent. Donc le « comment » va vous amener à des réponses. Plus vous allez le faire plus vous allez gagner en confiance en vous et plus vous allez gagner en réussite et donc élever vos croyances.

Le plan d’actions 90/90

Je vous invite maintenant à avoir un plan d’actions 90/90 ? Cela veut dire que pendant 90 minutes chaque jour pendant 90 jours vous allez reprogrammer votre cerveau. Si vous pensiez que l’argent c’est difficile à obtenir par exemple ou que travailler plus pour gagner plus est une croyance qui s’observe dans le monde, vous allez définir l’inverse et donc l’argent c’est facile à obtenir et que on peut travailler beaucoup moins en gagnant beaucoup plus. Si vous gardez ce mantra en tête et que chaque jour pendant 90 minutes vous cherchez à passer à l’action et à développer votre mindset, votre confiance vers ce mantra alors au bout de 90 jours il va commencer à se passer quelque chose. Vous allez développer une autre identité, devenir une nouvelle personne.

Consulter des spécialistes

Je vous conseille de consulter des spécialistes comme des hypnothérapeutes ou des techniques comme l’EMDR par exemple qui vous permettent de balayer des traumatismes ou des croyances fortement ancrées plus rapidement. On peut y arriver en le faisant soi-même mais cela prendra un petit peu plus de temps.

 

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Comprendre les ondes cérébrales (neurosciences)

Lumerys Comprendre les ondes cérbrales

Dans un environnement complexe et incertain, comprendre le fonctionnement de notre cerveau peut nous aider à reprendre la main. Je vous détaille ici les cinq fréquences cérébrales (exprimées en Hertz). Comprendre les ondes cérébrales vous permettra ainsi de savoir quelles sont celles qui vous mettent en état de stress et celles qui favoriseront votre bien-être pour favoriser une reprise en main de votre vie intérieure et extérieure.

Les ondes Delta

Le premier niveau d’ondes correspond aux ondes Delta c’est-à-dire les ondes qui correspondent soit à une réalité de sommeil profond soit à des configurations de méditation profonde. On est ici à un niveau de 4 Hertz ce qui est extrêmement faible. Dans certaines études menées par des scientifiques avec des moines tibétains, il a été observé que ces derniers au regard de la science pouvaient être considérés en réalité de mort clinique alors qu’il n’en était rien. Dans cette configuration, on se sent donc en état de quiétude et à ce niveau de fréquences on a perdu la notion de l’environnement et du temps.

Les ondes Thêta

Le deuxième palier correspond aux ondes Thêta appelées aussi les ondes de relaxation profonde. Ce sont des zones qui se situent entre 4 et 8 Hertz et elles nous mettent dans un état d’entre-deux c’est-à-dire dans un état de somnolence dans des moments très spécifiques au réveil où on n’est ni endormi ni réveillé ou également au moment de l’endormissement. On est véritablement dans cet entre-deux assez spécifique où on peut avoir accès à ses rêves.

Les ondes Alpha

Le troisième niveau correspond aux ondes Alpha. Cette fréquence se situe entre 8 Hertz, 8,5 Hertz et 12 Hertz et c’est une situation, une fréquence où on peut être considéré en relaxation légère et en situation de créativité. C’est notamment un moment spécifique où la connexion entre l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit fonctionne à plein régime. Lorsque les ondes Alpha circulent dans notre cerveau, on est dans une configuration de bien-être. On se sent aligné, productif en idées. Ces ondes, au-delà de la créativité, favorisent également l’apprentissage.

Les ondes Bêta

Le quatrième palier correspond aux ondes Bêta qui sont celles qui sont activées lorsque l’on est en éveil total. La fréquence pour les ondes Bêta est entre 12 et 30 Hertz. Dans cette configuration, on est concentré sur ce qui se passe à l’extérieur de nous. Ce sont les ondes du quotidien qui nous permettent d’agir, d’activer ce que nous avons à activer au fil de l’eau. Elles favorisent la concentration, mais à un niveau trop élevé, elles nous mettent en situation de stress. On tombe alors dans une configuration qui peut altérer notre corps, notre façon de travailler et notre capacité à être efficient.

Les ondes Gamma

Le dernier palier correspond aux ondes Gamma. On peut considérer qu’il s’agit des ondes de la gestion de l’information. Donc dans cette configuration, on est à un niveau d’ondes extrêmement élevé entre 30 et 40 Hertz. Certaines études ont réussi à prouver qu’on peut même aller jusqu’à 80 Hertz et là on est dans des logiques et des réalités de concentration extrême, de capacité à résoudre des problèmes complexes.

Conclusion : Soyez dans une réalité intérieure

Notre réalité quotidienne nous positionne dans une réalité, dans un niveau de fréquences d’ondes cérébrales plutôt élevé donc Alpha, Bêta et Gamma. Aussi une des invitations que je pourrais vous faire c’est de réussir à favoriser des états où on peut avoir accès à des réponses, à des intuitions en positionnant son cerveau à un autre niveau de fréquences. L’idée c’est donc de réussir à être beaucoup plus dans une réalité intérieure et de tenter de réduire la fréquence des ondes de notre cerveau en étant sur des fréquences Delta ou Thêta.
Plus vous allez réussir à vous orienter vers des fréquences basses grâce notamment à des activités de respiration, de relaxation et de méditation plus vous allez reprendre la main sur votre vie.

 

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Attention au biais d’auto complaisance (biais cognitif)

biais cognitif

Connaissez-vous le biais d’autocomplaisance ou biais égocentrique ? Ce biais cognitif, défini dans le livre « Person Perception » d’Albert Hastorf, de David Schneider et de Judith Polefka attribue nos succès à des causes internes et personnelles (talent, compétence, etc.) et nos échecs à des facteurs externes qui ne dépendent pas de nous (environnement, crise, etc.).

 

Quelques exemples pour illustrer le biais d’autocomplaisance

Si je fais du business c’est parce que je suis génial, si je ne fais pas du business c’est parce que c’est la crise. Cela vaut aussi pour les études c’est-à-dire si je réussis c’est parce que j’ai une bonne mémoire, si j’échoue c’est à cause du professeur. Il y a ce jeu inconscient et permanent qui se joue dans des configurations de succès ou d’échecs de survalorisation d’un côté ou de survalorisation de l’autre. Ce biais, même s’il offre une forme de défense psychologique, empêche d’avancer et de progresser. Alors comment faire pour le déjouer ?

 

Premier volet : Biais d’autocomplaisance et description de soi 

Les études démontrent que les individus ont une perception généralement excessivement positive de leur talent et de leur habilité sociale par rapport à ce qui est réel.

 

En 1988, deux chercheurs, Taylor et Brown, ont réussi à prouver que les individus lorsqu’ils se décrivent ont toujours tendance à survaloriser ce qui est positif chez eux et à sous valoriser ce qui est négatif. Comment font-ils ? Concernant les attributs négatifs de leur personnalité, les individus ont tendance à les qualifier de commun alors que les attributs positifs sont vus comme rares et exceptionnels. Le biais d’autocomplaisance agit donc sur la perception de soi.

 

Deuxième volet : Biais d’autocomplaisance et mémoire

Les études ont montré que notre mémoire avait tendance à effacer les événements qui étaient de l’ordre de l’échec ou négatifs et tendance à maintenir bien présents dans notre esprit les événements positifs.

 

De plus, lorsque l’on repense à des événements négatifs ou à des échecs, notre mémoire a tendance à amenuiser la violence ou l’intensité de l’échec.

 

Troisième volet : Biais d’autocomplaisance et réflexe préventif

Inconsciemment dans certaines situations, notre cerveau va nous conduire à imaginer des prétextes qui pourraient très facilement expliquer un futur échec. Dans ces cas-là, les individus de façon inconsciente vont plutôt choisir des registres qui sont socialement admis par exemple l’anxiété, la timidité ce qui va en outre générer de la part des autres une compréhension de notre échec ou futur échec.

 

C’est ce que certains scientifiques appellent la stratégie de la jambe de bois c’est-à-dire qu’on trouve les arguments en amont d’une réalité qui pourraient expliquer qu’on n’a pas réussi.

Quatrième volet : Biais d’autocomplaisance et collectif 

Les études ont montré que ce biais d’autocomplaisance fonctionnait également au sein d’un groupe. En d’autres termes, le groupe aura toujours tendance à survaloriser les causes internes en cas de succès et à survaloriser les causes externes en cas d’échec. De façon inconsciente un individu aura tendance à s’attribuer individuellement le succès du groupe et à contrario à ne pas prendre sa part en cas d’échec.

 

Comment déjouer ce biais d’autocomplaisance ?

Est-ce que j’ai la possibilité de déjouer mon cerveau ? Est-ce que j’ai la possibilité d’agir ? La réponse selon moi est oui.

 

Simplement si on survalorise les causes externes, on évite la remise en cause et donc on altère notre possibilité d’évolution et d’adaptation. Notre proposition pour déjouer ce biais d’autocomplaisance tient en une phrase très courte : « 100% responsable« .

 

Chaque fois que vous vous considérerez 100% responsable dans votre vie, vous allez altérer le poids de ce biais d’autocomplaisance dans la réalité qui est la vôtre. Vous allez alors systématiquement prendre le réflexe de savoir engager de nouvelles solutions et d’être sans cesse dans une logique de micro-mouvement permanent pour amplifier votre impact.

 

Conclusion

Finalement, ce biais d’autocomplaisance est une réflexion autour du bien et du mal, autour de la justice et de l’injustice c’est-à-dire comme si nous serions soumis à ce que nous méritons et moi j’aime cette idée de dépasser cela et de se dire qu’on est 100% aux manettes de notre réalité.

 

A très vite !
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marylise & sébastien