Dans cette nouvelle vidéo, nous abordons un élément essentiel du mindset : le devoir d’oser.
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Nos enseignements majeurs
Le devoir d’oser, qu’est-ce que c’est ?
Alors il faut savoir que toutes les plus grandes réussites ont commencé par oser justement.
Oser, c’est enclencher un premier pas.
Avant toute chose, c’est commencer à sortir de sa zone de confort, c’est-à-dire s’autoriser à apprendre, s’autoriser à aller vers des univers,
des mondes, qui sont des mondes inconnus.
Et souvent, on pense que tout n’est que question de talent.
Et peut-être on va faire une petite démonstration comme quoi le talent n’est pas suffisant. Bien sûr, il est utile mais il n’est pas suffisant.
Je vais prendre un petit exemple au tableau en vous parlant de Richard Gasquet et de (Raphaël) Nadal.
Il se trouve que, au tout début de sa carrière, si on regarde par exemple une valeur de 0 à 100.
Et là, on va dire que c’est l’axe temps, d’accord ?
Il se trouve que Richard Gasquet était environ à 70, c’est-à-dire que quelque part, il gagnait toutes les compétitions.
Ça veut pas dire qu’il était au sommet de son oeuvre mais il était super bon, super bon et il gagnait toutes les compétitions.
Et ce qui se passe, c’est que tout au long de sa carrière, qu’est-ce qui s’est passé ?
Il a progressé légèrement mais par petites, par petite bribe.
Donc ça, c’était Richard Gasquet.
Maintenant, si on prend la carrière de Nadal, Nadal, lui, a démarré bien en dessous, à 40 environ. Donc ça, c’est Nadal.
Et ce qui se passe, c’est que il a démarré à 40 parce qu’il a connu des défaites et des défaites, et il perdait à chaque fois contre Richard Gasquet.
Richard Gasquet était le petit as, il gagnait tous les tournois et il perdait contre Richard Gasquet et il en avait assez.
Et à chaque fois, il se posait juste une question :
- comment je peux faire pour m’améliorer ?
- comment je peux faire pour m’améliorer ?
- sur quoi j’ai péché ?
Et ce qui s’est passé dans sa carrière, c’est que petit à petit, il a progressé, il a progressé, il a progressé, il a progressé jusqu’à avoir un point d’inflexion avec le résultat qu’on connaît, c’est-à-dire qu’il a dépassé largement Richard Gasquet.
Aujourd’hui, Nadal oscille entre le premier et le deuxième (rang) mondial, et que Richard Gasquet est environ au 36ème mondial.
Et ce qu’il faut savoir, c’est qu’en termes de points ATP, et là je vais prendre un autre crayon, en termes de points ATP entre les deux,
il y a un écart de x8.
Donc on voit que le talent ne suffit pas et on va voir quels sont les autres éléments qu’il faut. Voilà !
Oser, ça veut dire aussi ne pas attendre l’aval des autres.
Certes, on peut prendre des avis, on peut prendre des conseils mais au final, si on est rivé à une recherche d’approbation, on ne fera jamais ces pas qui vont nous permettre d’élargir notre zone de confort, qui vont nous permettre d’aller au-delà de ce que l’on connaît.
Et j’aime bien dire cette phrase finalement que l’avis des autres n’est autre que la vie des autres, donc comme vous avez décidé d’oser, allez-y et ne vous limitez pas à attendre ce que vont vous dire les autres.
Généralement, vous allez être confronté aux limites que chacun a en lui, et ce qui pourrait à votre tour vous limiter dans votre progrès ou dans votre succès, dans votre marche vers le succès.
Un autre point très important, c’est la capacité de se dire « quand vais-je réussir ? » et de bannir le « est-ce que je vais réussir ? ».
La plupart de vos proches, de votre entourage, etc. vont vous dire « Mais est ce que tu crois que tu vas réussir ? » et, bah le cerveau est capable de répondre « non » dans ces cas-là.
Donc, la question, c’est « quand est-ce que je vais réussir ? ». C’est cette question uniquement que vous devez garder en tête et de bannir le « si », d’accord ?, le « quand est-ce que vous allez réussir ? ».
Et enfin, le dernier point, c’est de travailler votre détermination.
On l’a vu tout à l’heure avec l’exemple de Nadal et de Gasquet. On a vu à quel point Nadal était déterminé.
Donc oser, c’est pas juste un one shot. On apprend quelque chose, on fait un premier pas et puis ensuite, tout roule.
Non ! Oser, c’est sans cesse travailler sa détermination pour que pas après pas, on puisse un jour atteindre l’Himalaya qui est le nôtre.
Donc vous avez compris qu’oser, finalement, c’est exactement ce qui manque à la plupart des gens qui échouent et c’est ce qui est complètement compris par les gens qui ont une réussite.
Et si on vous résume les quelques points, pour nous :
- 1 : oser, c’est déjà commencer par un petit pas. Ce premier pas, il est très important.
- 2 : ensuite, oser, c’est se dire que bien sûr, il faut du talent mais que ce n’est pas suffisant. Un cas : l’exemple de Gasquet et de Nadal, d’accord ?
- 3 : ensuite, le troisième point, c’est n’attendez pas l’approbation, n’attendez pas qu’on dise oui, c’est bien ! Vas-y.
Si vous avez envie d’y aller, si vous pensez qu’il faut y aller, allez-y. - 4 : le point suivant, c’est on ne garde que la question du « quand est-ce que je vais réussir ? » et on supprime totalement le « est-ce que je vais réussir ? ». On ne met pas de « si », on ne met pas de conditions. On va réussir, mais « quand ?« .
- 5 : cultiver sa détermination, sa confiance en soi, c’est-à-dire qu’on avance. Y aura des tempêtes, y aura des K.O. mais on avance parce que c’est comme ça qu’on apprend et parce que Nadal en a eu, il a réussi à avoir la réussite qu’il a aujourd’hui.
À très vite.
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