Dans cette nouvelle vidéo, nous partageons 8 enseignements tirés du best-seller The 4-Hour Work Week de Timothy Ferriss.
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Aujourd’hui, on veut partager les enseignements d’un livre, La semaine de 4 heures.
On en a tiré 8 enseignement-clés qu’on a synthétisés et qu’on avait envie de partager aujourd’hui avec vous dans cette vidéo.
Alors Tim Ferriss a écrit ce livre de La semaine de 4 heures.
Ce livre nous a oxygéné parce qu’il a une vision très simple et pragmatique de faire du business qui est parfois déconcertante.
Alors bien sûr, il fait pas que 4 heures dans sa semaine, mais c’est vraiment l’idée de dire comment on pourrait réduire sa semaine à ce qui a le plus de valeur.
Et nous, on veut vraiment sortir d’un phénomène qui est plus de temps passé = plus de business.
C’est vraiment quelque chose de contre-intuitif mais il essaie de nous montrer qu’on peut réduire énormément le temps et faire plus de business.
Donc, y a pas besoin de rajouter des heures pour faire plus de business et on va vous démontrer pourquoi.
Alors, le premier point qu’on a retenu, c’est de se concentrer sur ses forces, c’est-à-dire se concentrer sur ce que l’on fait bien et sur ce sur quoi nous avons de la valeur et de déléguer tout le reste.
Alors lui, il est assez radical sur le sujet, c’est-à-dire qu’il ne fait rien quand il n’a pas une valeur absolue sur un sujet.
Et je trouve que c’est intéressant, sans même le pousser à l’extrême comme Tim Ferriss, mais je trouve que c’est vraiment intéressant, en tant qu’entrepreneur, en tant que dirigeant, de se reposer systématiquement la question :
« quels sont les sujets, quels sont les registres sur lesquels j’ai une vraie valeur ? »
Si la réponse est « je n’ai pas de valeur », je délègue.
Ensuite, dans le deuxième enseignement, il fait une association entre la loi de Pareto et la loi de Parkinson, et qu’on trouve très intéressante, c’est-à-dire que :
Donc à un moment donné, Timothy Ferriss fait la combinaison des deux. Il dit :
« Vous faites 20-80, 20% du temps pour 80% de la valeur et vous mettez une date. »
parce que s’il n’y a pas de date, vous allez prendre plus de temps que prévu et vous allez être moins efficace. Voilà.
Le troisième volet qu’on a retenu, c’est la capacité que chacun a à choisir sa vie, c’est-à-dire que son potentiel de liberté est réel.
Le potentiel de liberté de chacun est réel et c’est juste s’offrir cette liberté de dire :
« Je choisis ce que je fais, je choisis quand je le fais, je choisis où je le fais et je choisis avec qui je le fais ».
Et si on passe sa vie au crible de ces 4 volets, finalement on chemine, on avance vers une vie plus libre.
Le quatrième enseignement, qui est aussi une technique c’est de dire que le timing n’est jamais le bon.
Qu’est-ce que Tim Ferriss veut dire par là ?
C’est que de toute façon, il y aura toujours des excuses qu’on peut se trouver pour dire :
« Ah bah non, je retarde le lancement parce que j’ai pas les conditions optimum ».
Les conditions optimum, on ne les aura jamais, donc on lance de toute façon, à un moment donné avec une date donnée.
On lance quoi qu’il se passe et puis on pourra toujours améliorer en route. Au moins, on est sûr que c’est lancé, on est sûr que c’est enclenché et comme ça, on avance.
Le cinquième point, nous il nous parle beaucoup parce que c’est ce qu’on pratique au quotidien et c’est ce qu’on conseille au quotidien.
C’est de prendre soin de son réservoir d’énergie, c’est-à-dire de travailler sur sa motivation et sur son énergie.
Et lui, ce que Timothy Ferriss conseille, alors je pense qu’il y a d’autres choses à mettre en place mais en tout cas, ce qu’on a retenu de ce qu’il conseille, c’est de s’octroyer des temps de pause.
Et ça, c’est vraiment essentiel parce que sinon, ce réservoir d’énergie se vide. Donc pensez à toujours le remplir, à doper votre motivation pour être au top de vos choix et de votre clarté.
Le sixième point qui est assez simple, c’est d’éliminer toute source de distraction, c’est-à-dire que lui, il est assez radical dans son approche.
En gros, les réseaux sociaux, les brèves de journaux, etc., tout ça, ça nous fait perdre du temps, ça nous déconcentre.
On peut perdre des fois 2 heures par jour rien qu’à essayer de se reconcentrer.
Et lui qui aime bien avoir finalement des temps de pause, soit des temps de pause très longs en mois ou même dans sa journée, il se dit :
« Finalement, moi je veux être efficace. Toutes les sources de distraction, finalement, vont faire que je vais travailler plus à la fin, donc je les enlève, tout simplement ».
Septième point qu’on a retenu, c’est ce que Tim Ferriss appelle le time boxing, c’est-à-dire cette idée de se réserver des plages de travail continu.
Alors, là aussi, c’est pas une prérogative ou une idée stricte de La semaine de 4 heures parce qu’on le retrouve dans d’autres méthodes (notamment Pomodoro, etc.), mais c’est l’idée de se dire que sur des plages horaires plus ou moins courtes (Pomodoro, c’est 25 mn), on est concentré, on est focus et on lance un travail sans discontinuer, c’est-à-dire qu’on ne s’arrête pas.
Donc on privilégie des plages horaires qui sont des plages horaires pas forcément très longues, mais on y va à fond.
Et le dernier point est autour de tâches ou de projets. L’idée, c’est de dire :
« Finalement, une tâche ou un projet, soit je la supprime, soit je la délègue, soit je l’automatise ».
Évidemment, lui il cherche à gagner un temps maximum, donc il cherche à déléguer un maximum de choses ou à supprimer si ça n’a pas de valeur. Et c’est important de se reposer souvent la question de la valeur.
Et Tim Ferriss dit un truc très intéressant, c’est que « si je délègue, je ne délègue pas à une personne, je délègue à une équipe ».
Pourquoi ? Tout simplement parce que quand je délègue à une personne, si jamais la personne s’en va, si jamais il arrive quelque chose à la personne finalement, et bien j’ai plus personne qui va pouvoir effectuer cette tâche.
Et je peux avoir une rupture dans la chaîne alors que si je délègue à une équipe, y aura toujours quelqu’un qui sera là, éventuellement, pour remplacer cette personne, pour s’assurer que la chaîne n’est pas rompue.
Et Timothy Ferriss dit une deuxième chose intéressante, c’est :
« L’expérience et l’intuition sont toujours de mauvaises conseillères. »
Il faut tester et il y a que le test qui va vous permettre de savoir si c’est bon ou pas.
Alors, nous avec Marylise, on est plutôt pour dire que l’intuition est souvent bonne conseillère, mais là on est d’accord avec lui : c’est que ça se vérifie par un test. Voilà.
On espère que ces 8 points vous auront clarifié ce parcours ou ce chemin vers ce que Tim Ferriss appelle La semaine de 4 heures.
On est bien d’accord qu’on est un peu dans un schéma caricatural parce que déjà, si on était sur des journées de 4 heures, ce serait pas mal.
On espère que ce sujet vous a intéressé et que les 8 conseils qu’on retient de ce livre vont pouvoir vous être utiles.
À très vite.
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