Aujourd’hui, nous avons décidé de vous élever un peu en découvrant l’histoire d’un homme incroyable.
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Nos enseignements majeurs
Aujourd’hui, on a décidé de s’élever un peu et de puiser dans une source d’inspiration.
Et on va voyager vers l’Inde à la rencontre d’un homme que l’on appelle Forest Man.
Cet homme s’appelle Jadav Payeng. C’est un indien et il a décidé de replanter une forêt entière pour sauver son île de l’érosion.
C’est un projet fou, incroyable. Cet homme est juste magnifique.
Il a développé une force de conviction dans son projet. Il avait une vision gigantesque.
Et vous allez découvrir son histoire, voir ces images aussi. Waouh !
Et ce qui est absolument incroyable, c’est que cet homme a décidé de finalement défier les lois de la nature.
Et il est parti d’un principe très simple et très inspirant dans le business.
C’est ce que, nous, on appelle le micro-mouvement permanent, cette idée de faire un tout petit peu chaque jour, un petit pas chaque jour pour atteindre son Himalaya.
Son Himalaya à lui, c’était de recréer une forêt sur un sol qui était absolument désertique, érodé.
Et ce qu’il a fait, il a fixé un principe très très simple : c’est qu’il a planté un arbre par jour pendant 35 ans.
Donc imaginez la puissance. On pourrait se dire « un arbre par jour, ce n’est pas grand chose ».
Et en même temps, si on fait ce petit pas chaque jour, pendant plusieurs années, on arrive à partir de rien, d’absolument rien, c’est-à-dire juste quelques bouts de terres arides, à recréer une forêt complètement luxuriante.
Et aujourd’hui, il faut savoir que cette forêt est plus grande que Central Park et elle est en train de grandir, grandir.
Il n’y a plus de limites puisque tout va très vite.
Et en fait, cet homme est parti d’une inspiration on va dire magique et d’un pragmatisme incroyable qui était de dire « finalement, je vais creuser des trous. J’ai besoin de quoi ? J’ai besoin d’un bâton ».
Donc, il trouvait des bâtons d’arbres au fur et à mesure sur son chemin, puisque chaque jour, il parcourait des distances incroyables.
Il trouvait des bâtons et il creusait des trous.
Et sur le chemin, il trouvait des graines, petit à petit, et il les plantait, il les ramassait dans son sac pour le lendemain.
Il a réutilisé le cadre de la nature en permanence avec une simplicité extrême.
il a étudié son environnement. Il l’a utilisé. Il est rentré en synergie avec et il a planté tous les jours comme l’a dit Marylise.
Et le plus magique dans tout cela, c’est que cette forêt, peu à peu alors qu’il l’avait pas forcément imaginé, mais cette forêt, peu à peu, a recréé un véritable écosystème, c’est-à-dire que petit à petit, des espèces se sont réintroduites, et des espèces, vraiment, qui inspirent au rêve : des tigres royaux du Bengale, des rhinocéros sont réapparus (des éléphants), des éléphants, des espèces d’oiseaux incroyables.
Et donc lui, à aucun moment à partir de ces petits bouts de bâton de bois, à aucun moment il n’aurait imaginé pouvoir recréer cet écosystème et faire revenir sur cette île des animaux qui, bien évidemment, ne pouvaient plus vivre à cet endroit.
Donc on remercie aussi le National Geographic de nous avoir fait découvrir cette vidéo magnifique (il y en a plein d’autres autour de lui) parce que c’est tellement inspirant pour nous.
Et peut-être le plus beau encore dans son projet, il s’est dit « Mais si moi, j’arrive à faire ça, imaginez :
« Si chaque enfant en Inde plantait un seul arbre dans sa vie, l’Inde dans 10 ans serait verte. »
Et ça, je crois que c’est… Ça m’en fait encore frissonner.
C’est un projet juste incroyable, c’est-à-dire qu’on a tous notre petite part, quelque part, tel le colibri.
Et si je plante juste 1 arbre, si je fais juste 1 bonne action par jour, imaginez la vibration positive dans le monde que je peux créer.
Et c’est ça qu’il est en train de démontrer avec toute son humilité, parce que cet homme, il est heureux avec rien. Il est juste heureux dans la nature.
Et je pense que ça doit nous aider à réfléchir dans notre vie de tous les jours, dans nos projets, c’est-à-dire que « ouais voilà : qu’est-ce que je peux faire, moi, à mon échelle ? ».
Et ce dont on se rend compte, c’est que c’est jamais des grandes choses qui font la différence.
C’est beaucoup de petites choses répétées.
Et donc en quelques mots, nous on avait envie de retenir le mot simplicité, le mot « pragmatisme » et enfin cette dimension qui nous anime, cette dimension de « micro-mouvement permanent ».
À très vite.
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