L’échec n’existe pas et n’est qu’une étape vers la réussite. Voici une dizaine de clés pour rebondir.
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J’ai décidé de vous faire une vidéo sur l’échec.
Et je me suis dit que je peux tenter de vous faire visiter Palerme (en Sicile) et en même temps vous parler d’échec.
Très souvent, on parle d’échec alors que pour moi, le mot échec n’existe pas.
Et donc je vais vous aider à rebondir après un échec avec une dizaine de clés.
Donc pourquoi je dis que l’échec n’existe pas ?
L’échec, c’est un état final de quelque chose alors que finalement, vous n’avez peut-être pas abandonné ce quelque chose.
Sûrement que ce quelque chose que vous avez loupé pour le moment, que vous n’avez pas réussi est juste une étape pour l’étape d’après, que ce soit le même sujet ou un autre sujet parce que parfois, on se rend compte qu’on a des sujets sur lesquels on bosse, sur lesquels on avance et on fait fausse route.
Mais cette fausse route là, elle est nécessaire pour faire bonne route ensuite.
Donc, quelque part, ce n’est pas un échec.
C’est juste une voie que vous avez emprunté pour vous donner un apprentissage de la vie.
Et cet apprentissage de la vie, il est nécessaire pour apprendre parce que si vous n’avez pas appris, il y a peu de chances que vous arriviez sur un autre chemin.
Donc dites vous que chaque chemin est important et il est là pour vous conduire quelque part.
Deuxième point : avez-vous de l’énergie pour le sujet que vous avez peut-être pas réussi pour le moment ?
Ou plutôt : pourquoi vous n’avez pas d’énergie sur tel ou tel sujet ?
Peut-être que ce n’est pas le bon sujet. Peut-être que vous n’êtes pas à la bonne place.
Donc c’est juste un moyen de repérer si vous êtes à la bonne ou à la mauvaise place.
Donc, ce que je voulais vous dire, c’est que l’énergie, elle vient en général quand le sujet vous motive, quand le sujet vous prend aux tripes.
Donc si l’énergie manque, c’est que quelque part, le sujet n’est peut-être pas le bon pour vous.
Si l’énergie est là, on va pouvoir passer à l’étape d’après.
Donc l’énergie, moi par exemple, avec Lumerys, avec Marylise, avec tout ce qu’on fait sur le développement personnel, sur le développement de business avec tous les entrepreneurs qu’on accompagne, et même sur des champs parfois même un peu spirituels, ça nous donne une énergie de fou.
Donc ça nous donne l’énergie d’avancer même dans la difficulté, mais parce que ça nous plait.
Donc les tempêtes, on en a comme tout le monde, en permanence.
Et j’ai envie de dire plus on en a, tant mieux parce que plus on avance.
Donc dites vous que l’énergie doit être là.
Le troisième sujet, je voulais vous parler du désir et de la persévérance.
Donc c’est très bien expliqué dans un livre que vous pourrez trouver chez Napoleon Hill.
C’est mal compris. C’est difficile parfois même à comprendre. Pourtant, c’est très simple.
Il faut savoir que si votre désir pour quelque chose n’est pas ardent, alors il y a peu de chances que vous puissiez l’obtenir.
Donc ça revient un peu à l’énergie, mais c’est encore un peu différent. C’est l’idée du désir. Avoir un désir ardent, c’est se dire « J’ai absolument envie de cette chose-là. Il n’est pas possible que je n’y accède pas ».
Donc, est-ce que votre désir est ardent pour cette chose-là ? C’est essentiel.
Si votre désir n’est pas ardent, alors il faut aussi comprendre pourquoi.
Ensuite, c’est pas parce que votre désir est ardent que tout va bien se passer mais déjà, c’est la base.
Il faut savoir qu’un désir ardent entraîne une persévérance.
Une persévérance, c’est ce qui va vous permettre de tenir dans les moments difficiles.
C’est ce qui va vous permettre chaque jour de mettre un pas après l’autre.
Le quatrième point que je voulais aborder, c’est : comment on développe cette persévérance ?
C’est pas simple de développer une persévérance. C’est tous les jours avec des rituels et de la discipline.
Qu’est-ce que ça peut être ?
Ça peut être :
Donc la persévérance, elle se développe parce qu’on va prendre soin de soi, de sa physiologie et de son mental.
La physiologie est bien plus facile à changer. C’est se sentir en performance personnelle, en bonne forme parce que cela entraîne une meilleure forme mentale. Donc ça se travaille.
La persévérance, c’est un entraînement quotidien tout simplement.
Moi, j’ai des rituels tous les jours, tous les jours et je ne les arrête pas parce que si je les arrête:
Ensuite le prochain point, c’est : plus d’obstacles = plus de réussite.
Qu’est-ce que ça veut dire ? Moi, j’ai compris cela il y a quelques années maintenant.
Avant, je me plaignais des obstacles que j’avais.
Maintenant, j’ai compris que plus j’ai d’obstacles, plus j’ai de chances de réussir parce que chaque obstacle est là pour me faire grandir.
Donc si je n’ai pas l’obstacle, qu’est-ce qui se passe ? Je ne grandis pas.
Une fois que j’ai compris ça, c’était une révélation. Je me suis dit « Ouais, chouette ! J’ai un moyen de grandir. Ok, c’est difficile maintenant mais j’ai un moyen de grandir ».
Et parfois évidemment, je dis pas « Chouette ! » parce que c’est pas du tout chouette et c’est même plutôt difficile.
J’accepte avec humilité le fait de me dire « Ok, c’est dur. Je sais pas comment je vais m’en sortir mais je vais faire de mon mieux pour trouver une réponse à cela ».
Et puis j’ai le droit de pas être bien ou de déprimer.
J’ai droit de mettre du temps à m’en remettre.
Donc voilà : voyez chaque obstacle comme un moyen de vous faire grandir. Et si vous n’en avez pas, c’est peut-être un problème.
Donc tous ceux qui arrivent, ils sont les bienvenus parce que vous allez échafauder des solutions qui vont vous permettre de gravir des marches.
Et plus vous gravissez de marches, plus vous progressez et plus vous avez de chances de réussir sur vos projets.
Il faut savoir que s’il n’y a pas de marches qui s’offrent à vous, vous pouvez en créer.
C’est ce qu’on appelle sortir de sa zone de confort. Nous, on dit plutôt élargir sa zone de confort.
Ça veut dire quoi ?
Ça veut dire que quelque part, on va nous-mêmes se mettre les marches de progression.
Donc ça peut être faire quelque chose qui vous fait peur par exemple.
Donc vous pouvez lister toutes vos peurs, ce que vous avez peur de faire, soit de parler au public, soit sauter à l’élastique, soit…
Ça peut être n’importe quoi finalement.
Mais ce que je veux dire, c’est : trouvez des éléments, des actions qui vous font un peu peur et tentez-les.
Et faites-le régulièrement, c’est-à-dire que la zone de confort, on en sort pas une fois puis c’est bon.
C’est tout le temps en fait, tout le temps qu’il faut se remettre en question, dire « Ah ça, voilà. Maintenant que j’en suis là, qu’est-ce que je pourrais faire d’autre ? ».
Moi, je suis à Palerme. Je me suis dit que j’avais pas forcément envie de faire de vidéo. Je me suis dit « Je vais profiter ».
Et finalement :
L’enseignement suivant, c’est : écoutez votre cœur, parce que seul votre cœur sait quelle est la bonne réponse pour vous.
Si vous n’êtes pas au bon endroit aujourd’hui, c’est totalement ok. C’est le sens de la vie. On peut pas trouver du premier coup.
Moi, j’ai mis des années à trouver l’endroit où je voulais être. Et l’endroit s’affine chaque jour.
Et je sais que dans un an, j’en serai pas au même endroit.
Je sais que dans 5 ans, je ferai encore autre chose. Sûrement peut-être que je voyagerai plus. Peut-être que je ferai plus de conférences. Peut-être que j’aurai écrit 3 livres. J’en sais rien. On verra ce qu’il se passe.
Donc le chemin s’affine.
J’ai mis des années à oser être coach. J’ai mis des années à oser parler devant une vidéo. J’étais très timide quand j’étais jeune. J’ai même redoublé ma seconde et ça m’a fait mal, mais j’ai appris de ça parce que je savais que j’étais pas au bon endroit. J’ai quand même eu mon Bac. Après, j’ai fait une école d’ingénieur. J’ai fait une école de commerce. Donc je sais même pas comment j’ai fait tout ça.
C’était dur mais petit à petit, j’ai réussi à gravir ces échelons-là.
Et je savais qu’au final :
Je savais même pas que les métiers de coach existaient à l’époque.
Donc tout s’affine et c’est ok. Vous avez le droit de trouver les réponses en route.
Ne vous mettez pas cette pression-là pour trouver les réponses tout de suite. Donc écoutez votre cœur.
Je vous donne une petite méthode:
C’est ça, finalement, trouver sa voie : c’est écouter son cœur. C’est aussi simple que cela.
Ensuite, j’avais envie de vous dire aussi qu’une fois que vous avez fait cet exercice-là, si vous aviez un million d’euros sur votre compte, si vous n’aviez pas besoin d’argent, que feriez-vous ?
Vous pouvez prendre une feuille blanche et vous poser. Et pareil, après l’exercice sur le cœur, continuez.
Mais remettez la main sur le cœur s’il le faut et dites « Si j’avais un million d’euros, que j’avais pas besoin de gagner ma vie, qu’est-ce que je ferais finalement ? Qu’est-ce que j’adorerais faire ? ».
Et là, ça va vous donner des indications.
Et peut-être c’est aussi loin, encore, cette distance-là, mais ça vous donne le cap.
Et vous aurez sûrement des étapes intermédiaires avec ce cap-là. Étape 1, étape 2… mais c’est ok.
Vous pourrez en déduire une étape demain, une étape après-demain, une étape pour dans 1 an, une étape pour dans 2 ans.
Est-ce que vous devez passer un diplôme ?
Est-ce que vous devez vous former à quelque chose ?
Est-ce que vous devez commencer à parler de ça à votre entourage ?
On a tous un talent. On a tous un don.
L’univers nous offre ça et ce serait trop égoïste de le garder pour nous-même. Nous devons le partager.
Et c’est ainsi que moi, j’essaye de partager humblement ce que j’ai compris, mon savoir-faire
Et si ça vous plait, tant mieux. C’est le but.
Et à ceux que ça plait pas, c’est ok. Je fais de mon mieux.
L’avant-dernier point, c’est de trouver les conséquences.
Pourquoi vous n’avez pas ce que vous voulez aujourd’hui ? Pourquoi vous assimilez ça à un échec aujourd’hui.
C’est quoi, les 5 causes principales ? Notez-les.
Vous pouvez en noter 8 même parce que quand on va jusqu’à 8, on dit à son cerveau « Ne me donne pas les 3 tartes à la crème que je connais déjà. Va bien plus loin ».
Donc 8 causes du fait que je n’ai pas encore réussi aujourd’hui, que je suis pas forcément au bon endroit, ou je patauge, ou je patine, ou que ça s’enlise, ou que ça va pas assez vite, ou que j’ai des blocages.
Et le dernier point que j’ai envie de vous donner, c’est : priorisez 2 causes principales parce qu’on peut pas en traiter 8, c’est trop difficile.
Donc c’est quoi les 2 causes majeures sur les 8 ?
Et listez un plan d’action pour régler ces 2 premières causes définitivement.
Alors, quand je dis définitivement, ça va sûrement pas prendre 1 minute ou même 2 jours.
Ça va peut-être prendre plusieurs semaines ou plusieurs mois, mais c’est pas grave.
Donc quelle serait la première action que vous pourriez faire ?
Je sais pas quels pourraient être ces 2 points, mais c’est ces 2 points qui vont vous permettre de vous remettre petit à petit sur le bon chemin.
C’est comme ça qu’on rebondit après un échec. C’est en balayant finalement la dizaine de points que je vous ai donnés.
Ça prend peu de temps, finalement, si on est bien concentré, si on a un désir ardent de changer sa vie, si on a un désir ardent d’avancer vers plus de lumière dans sa vie, plus de joie, plus de réussite, plus d’abondance.
Et encore une fois, ce n’est pas que de la réussite financière.
C’est de la réussite par la satisfaction.
C’est de la réussite par la contribution à l’univers.
C’est de trouver sa place.
C’est de pouvoir aider les autres.
Finalement, c’est ça, la réussite : c’est de sentir au bon endroit, avec la bonne énergie et la bonne vibration.
Au plaisir de vous retrouver dans une prochaine vidéo.
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