Dépassez vos peurs [3 CLÉS MAJEURES]

Dans cette nouvelle vidéo, nous abordons le sujet qu’est la peur de réussir ou, dit autrement, le manque de courage, nécessaire à l’atteinte de ses objectifs personnels et professionnels.

 

 

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Nos enseignements majeurs

 

Tout d’abord, qu’est-ce que c’est, la peur de réussir ?

 

On part tous avec les mêmes capacités au départ, les capacités intellectuelles, les capacités de réussite.

 

Pourtant, ce dont on se rend compte, c’est qu’il y a certains dirigeants, certains entrepreneurs qui ont cette peur de réussir parce que réussir, quelque part, les ferait :

• sortir de leur zone de confort.
• peut-être que ceci ferait changer le regard des autres et peut-être qu’ils ne pourraient pas assumer cela.

Et c’est très important parce que l’on va vous donner trois points de méthode pour essayer de comprendre comment faire face à la peur de réussir et comment résoudre ça.

 

Et la première dimension à intégrer, c’est ce qu’on appelle la foi, c’est-à-dire de s’autoriser à être porté par quelque chose qui est finalement plus grand que soi.

 

Et pourquoi c’est essentiel ? Parce que lorsqu’on lance un projet, lorsqu’on se lance dans une aventure entrepreneuriale, lorsqu’on porte un business, de toute façon, avec certitude on aura des embûches, de toute façon avec certitude on va rencontrer des difficultés.

Cette foi qui nous anime profondément va nous permettre de les dépasser.

 

Et c’est pas un hasard si dans l’histoire des personnes les plus célèbres, qui ont fait date, elles ont toutes quelque part à un moment ou à un autre, dû franchir des obstacles. Et elles n’ont pu le faire que portées par leur foi intérieure.

 

Je prendrai cet exemple très connu de Disney qui, alors qu’il avait déjà fait fortune dans le cinéma, a été confronté à un problème de financement pour lancer son parc d’attractions.

 

Et il a dû essuyer plus de 300 refus.

Vous imaginez ? Est-ce que vous imaginez que vous, vous iriez voir 300 banques pour avoir un financement pour un projet ?

 

Et pourquoi Disney a-t-il réussi ? Il a réussi parce qu’il était porté par quelque chose de plus grand que lui.

 

Cet exemple vaut aussi pour J. K. Rowling.

 

Avant même d’avoir écrit et connu le succès avec Harry Potter, elle a essuyé des refus incroyables.

On lui a même dit qu’elle ne savait pas écrire et que jamais elle ne serait en mesure de publier un livre.

 

Et elle a été portée, portée, animée par cette foi qui lui a permis de résister, finalement, à toutes ces embûches et à toutes ces difficultés qui font partie du parcours du succès.

 

Ce qu’il est important de comprendre, c’est que finalement, on obtient ce que l’on demande précisément.

Alors, pour peut-être illustrer ce point, on va vous raconter une petite histoire.

 

C’est l’histoire de l’homme et du vieillard.

 

Et bien imaginez un homme qui marche dans la rue (une histoire vraie), un homme qui marche dans la rue et puis qui voit au loin
un vieillard qui titube, qui a peut-être bu un peu.

 

Et puis cet homme-là sait qu’il va devoir donner un petit peu d’argent à ce vieillard et ça ne loupe pas.

 

Le vieillard s’approche de lui et lui dit « Écoute, est-ce que tu peux me donner 50 cents ? ».

 

Et cet homme-là qui voit le vieillard en face de lui réfléchit et se dit « Mais est-ce que je dois lui donner 50 cents ? » parce que il va sûrement peut-être s’acheter de l’alcool ou, « Est-ce que je vais quand même lui donner un peu d’argent pour l’aider ? », et peut-être ça va lui apporter un petit moment de douceur.

 

Et puis, il réfléchit encore et se dit « Mais quelque part, je vais essayer quand même de lui donner aussi une leçon ».
Et il ouvre son portefeuille avec tous ses billets Il passe les billets en revue et puis finalement, il ouvre une petite poche, il prend une pièce de 50 cents et la donne au vieillard.

 

Et le vieillard regarde la pièce, regarde le portefeuille avec les billets et il a comme une incompréhension,
il lui dit « Mais tu es fou, toi ! ».

 

Et finalement, cet homme qui était en face de lui dit « Mais la vie te donnera toujours ce que tu lui demandes ».
Qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que si vous demandez quelque chose, vous allez vraisemblablement, avec du travail, l’avoir. Mais si vous n’êtes pas assez précis sur la demande, vous allez peut-être être déçu.

 

Je prends un deuxième exemple.

 

Imaginez que vous souhaitiez une augmentation de salaire.
Qu’est ce que vous allez dire ? « Je voudrais être augmenté ». Très bien.

 

Imaginons que je sois votre patron. Si je vous donne un euro de plus, est-ce que vous allez être content ?

A priori non, pourtant je vous aurai augmenté.

 

Je vous aurai augmenté mais vous n’aurez pas osé demander plus ou vous n’aurez pas osé donner un chiffre précis à mon cerveau de patron.

 

Et donc, ce qui est important, c’est que :

• vous arriviez à demander la juste somme, mais la juste somme, c’est pas celle de votre éducation, c’est celle que vous voulez vraiment
• c’est que vous soyez convaincu à un moment donné aussi de l’obtenir et de tout faire pour l’obtenir.

Le troisième point qui est important et qui est rarement abordé finalement dans le succès parce que le story telling prend la place et nous fait croire que le succès, ce sont des jolies histoires qui vont arriver à nous facilement.
Et en fait, nous ce qu’on constate, c’est que le succès est avant tout affaire de persévérance.

 

Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu’il est important, au-delà du rêve qui nous habite, au-delà de la foi qui nous porte, il est important d’avoir un plan très précis.

 

Et nous, on vous encourage à séquencer le chemin très précisément entre aujourd’hui et la réalisation de votre rêve, c’est-à-dire de découper mois par mois, puis semaine par semaine, ce que vous allez réaliser, ce que vous allez accomplir pour qu’un jour, votre rêve devienne réalité.

 

Et très souvent, on oublie cette dimension qui est celle du travail qui est nécessaire, qui est important, qui peut très bien s’exprimer dans ce qu’on appelle le flux, c’est-à-dire un sentiment d’accomplissement et de plénitude.

 

Mais néanmoins, néanmoins dans la persévérance, c’est-à-dire dans ce travail quotidien qui va faire qu’à un moment donné, la somme de ce qu’on aura réalisé chaque jour, puis chaque semaine, puis chaque mois, puis chaque année nous conduira au véritable accomplissement.

 

Il y avait une petite citation de Gérard Mulliez, le fondateur d’Auchan, qui disait :

 

« Finalement, à 1800 détails réglés dans l’entreprise, l’entreprise n’est pas rentable.

À deux mille détails réglés, on est à l’équilibre et à 2200 détails réglés, on commence à gagner de l’argent. »