Trois astuces concrètes pour apprendre à agir avec clarté quand l’environnement en manque.
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Réussir avec un supplément d’âme, si cher à Lumerys, c’est aussi accepter les épreuves que notre environnement nous envoie.
Et je crois que, dans un monde de plus en plus incertain (et Dieu sait si l’actualité est chargée en ce moment), il est important d’apprendre à décider dans l’incertitude.
Et j’avais envie de partager avec vous 3 clés pour vous aider à décider dans l’incertitude.
Alors la première révélation, c’est d’apprendre à déjouer son cerveau.
En fait, plusieurs études montrent que l’on a 60 000 pensées par jour et que l’on doit faire face à 4 000 questions.
C’est absolument colossal.
Et ce qu’il est important de comprendre, c’est que chaque question a sa propre énergie.
Je vais vous donner un exemple très concret.
Si vous vous dites « Est-ce que je vais réussir ? », vous n’êtes pas du tout dans la même énergie que si vous dites « Quand est-ce que je vais réussir ? ».
Donc veiller à vos questions, c’est déjà un moyen de ne pas laisser son cerveau aux manettes de programmations qui vous mettraient dans le doute.
Donc à chaque fois que vous le pouvez, plutôt que de dire « Est-ce que je », privilégiez le « Quand est-ce que je » et vous vous mettrez déjà dans une énergie qui vous permettra d’affronter beaucoup plus facilement et légèrement l’incertitude qui, de toute façon, sera toujours là.
Et quand on utilise le « est-ce que », la tendance naturelle, c’est plutôt de répondre non. « Est-ce que je vais réussir ? ». Pas sûr.
Alors que « Quand est-ce que je vais réussir ? », là, le fait même de réussir est déjà acquis. La question devient juste une question de temps.
Et donc ce que vous devez comprendre, c’est que les questionnements, finalement, nous font soit avancer, soit reculer.
Donc quand l’environnement est incertain, quand vous êtes dans le flou, quand vous ne savez pas de quoi demain sera fait, apprenez à vous poser des questions qui vont vous mettre dans la bonne énergie.
Deuxième point essentiel : ne plus gaspiller son temps dans le doute.
On observe, et ça vaut pour nous aussi avec Sébastien au quotidien, ou peut-être pas au quotidien mais régulièrement, que ce qu’on appelle les peurs par anticipation reviennent, c’est-à-dire qu’on commence à se faire un film complet sur un futur qui n’arrivera peut-être jamais.
Et ces peurs, ça peut-être la peur de ne pas y arriver, ça peut être la peur d’être mal perçu, ça peut être la peur de passer pour une pomme.
Et toutes ces peurs, finalement, qui n’ont rien d’ancré dans une réalité, contribuent à nous prendre une énergie de fou alors que cette réalité-là n’existera peut-être jamais.
Et tout ceci puise dans différents facteurs inconscients.
Il y a notamment le syndrome de l’imposteur, qui consiste à nourrir cette pensée que peut-être, on ne serait pas légitime à faire quelque chose.
Très simplement, on a la possibilité de dire STOP à ces schémas de pensée inconscients.
Mais vous savez, le seul moyen de déjouer le cerveau à un moment donné, c’est d’agir dans les 3 secondes.
À un moment donné, quand vos petites voix commencent à se mettre vraiment en marche et que ces idées un peu sombres, tous ces doutes commencent à circuler de façon inconsciente, vous avez 3 secondes pour dire à votre cerveau « STOP. C’est fini. Je ne pense plus ça ».
Et à partir du moment où vous dites STOP en 3 secondes, vous avez la possibilité de partir sur une toute autre énergie.
Donc le syndrome de l’imposteur n’est pas une fatalité.
Il y a aussi ce qu’on appelle le syndrome de l’égo, c’est-à-dire que quand les périodes sont plus compliquées, quand on est un peu dans le doute, on peut être tenté, parfois, de jouer les gros bras, c’est-à-dire de surjouer la partie.
Décider dans l’incertitude, c’est déjà se plugger à un principe de réalité. Quelle est votre réalité au moment présent ?
Et plus vous serez réaliste sur ce qui se joue pour vous, plus vous serez en configuration de trouver les solutions pour décider dans l’incertitude.
Donc ne cherchez pas à surjouer la partie.
Prenez-la avec réalisme et apprenez à décider sereinement dans l’incertitude.
Mais ceci ne suffit pas si (et voilà mon troisième volet), si vous ne travaillez pas au quotidien votre densité personnelle.
Finalement, tout ce qui se joue à l’extérieur n’est que le reflet de votre intérieur.
À chaque fois que vous réussirez à maintenir des rituels au quotidien, c’est-à-dire des pratiques régulières qui vont vous densifier personnellement, à chaque fois que vous allez petit à petit poser ces pierres qui vont vous nourrir, vous serez en configuration de raisonner et réfléchir avec beaucoup plus de clarté.
Alors, vous le savez, on est très adeptes puisqu’on a été formé (on travaille cela aux côtés des dirigeants, des entrepreneurs que l’on accompagne), on est très adeptes de la cohérence cœur-cerveau.
En quelques minutes par jour, on a la possibilité d’apprendre à se densifier, à se recentrer et à nourrir, petit à petit par cette succession de pratiques et de quelques minutes quotidiennes, de se nourrir profondément pour pouvoir prendre les bonnes décisions à un moment donné.
Et pour conclure, retenez simplement que les bonnes décisions ne se prennent pas dans le mental mais se prennent dans le cœur.
Donc dès que vous êtes en panique, dès que vous ne savez plus quel chemin prendre :
À très vite.
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