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ADN : Échapper à la fatalité de son patrimoine génétique

J’ai comme l’impression qu’on vit une véritable révolution dans la compréhension que l’on a de notre corps, de notre santé voire de la de la médecine. Pendant longtemps on a pensé que 100 % de notre réalité médicale c’est-à-dire de notre santé dépendait de notre ADN. Désormais, les plus grandes instances scientifiques s’accordent à dire que notre ADN ne jouerait qu’à hauteur maximum de 30% sur la réalité du fonctionnement de notre corps, sur l’émergence de maladies ou pas.

 

70% du fonctionnement de notre corps s’expliquerait par notre environnement

 

Alors si l’ADN participe uniquement à 30% notre réalité corporelle et médicale que se passe-t-il pour les 70 % restants ?

 

Les plus grands experts mondiaux s’accordent à dire que l’impact, ce chiffre des 70 %, s’expliquerait par notre environnement.

 

Qu’est-ce que j’entends ici ? Parce que le mot environnement peut revêtir plusieurs formes.

 

La première je dirais c’est notre environnement matériel donc ce sont notamment les lieux dans lesquels nous passons le plus clair de notre temps. Ce sont aussi les conditions dans lesquelles nous menons des réunions. Par exemple une salle de réunion qui n’est pas bien oxygénée va faire baisser notre puissance intellectuelle, notre capacité à réfléchir.

 

Ensuite il y a un autre volet qui joue significativement dans notre réalité physique c’est ce qu’on appelle un volet émotionnel, notre environnement émotionnel. Certaines études aux États-Unis ont montré que si nous sommes dans un environnement toxique, nous avons besoin de cinq fois plus d’énergie pour arriver au même résultat. Il y a de nombreuses études qui corroborent cette réalité.

 

Il y a également l’environnement spirituel c’est-à-dire la capacité que nous avons à nous connecter à plus grand que nous.

 

Et ce qui est le plus extraordinaire c’est que l’organisation européenne de biologie moléculaire a démontré que les impacts environnementaux peuvent avoir un effet sur 14 générations. Vous imaginez ce que ça implique dans le bagage que l’on peut être amené à porter de façon inconsciente de génération en génération ?

 

 

Autorisez-vous à rebattre les cartes

 

Évidemment, on ne peut pas toujours changer son environnement. Certains environnements sont subis et ne sont pas si évidents à modifier. Néanmoins on trouve intéressant de toujours s’autoriser à rebattre les cartes c’est-à-dire de prendre conscience de l’impact et de la réalité de notre environnement sur notre vie, de rechallenger nos habitudes, nos routines, les endroits dans lesquels nous passons beaucoup de temps, les personnes avec lesquelles nous passons beaucoup de temps, les réalités quotidiennes qui sont qui sont les nôtres.

 

Comment reprendre le pouvoir sur notre environnement ?

 

Ce que je trouve intéressant c’est de comprendre que « ce que je vois n’est pas lié à mes yeux, ce que j’entends n’est pas lié à mes oreilles, mais est lié à l’interprétation que mon cerveau en fera. »

 

Et donc notre cerveau c’est totalement construit dans un référentiel au regard de notre histoire, de nos parents, de notre environnement, de notre réalité personnelle mais il s’agit juste finalement non pas d’une réalité mais d’une interprétation de la réalité par notre cerveau au travers de cette base de données qui s’est constituée dans la durée.

 

Et donc reprendre le pouvoir sur son environnement ou en tout cas sur la façon dont nous voyons notre environnement c’est aussi agir sur nos sens. Comment faire ? Parce que on est dans une réalité qui a une réalité totalement inconsciente qui se fait par automatisme, dans des nanosecondes, et donc comment reprendre le pouvoir sur notre environnement alors nous sommes soumis à cette programmation depuis toutes ces années ?

 

La réponse que j’aurais envie d’apporter c’est une réponse d’intériorité et de distanciation. L’intériorité c’est quoi ? C’est véritablement de prendre le temps d’un regard attentif, intérieur sur notre réalité pour se distancier de ces fonctionnements inconscients.

 

Quand je parle de distanciation ce que je veux dire c’est par exemple lorsque j’active le sens de la vue, c’est non pas d’être dans l’interprétation, mais d’être dans la description. Plus précisément lorsque je vois une table plutôt que de garder en tête « il s’agit d’une table » qui est déjà un concept, prenez le temps de vous entraîner à « je vois un objet qui est métallique, qui est en bois, qui est marron, qui est haut, qui est bas, qui est vert, qui est blanc » et de décortiquer, de vous entraîner en fait comme un muscle puisqu’on sait que le cerveau fonctionne comme un muscle, de vous entraîner à porter un autre regard sur votre environnement.

 

En faisant cela vous réussirez à vous distancier de ce que sont les interprétations, de ce que sont les concepts que l’on met derrière des objets. Vous reprendrez petit à petit le pouvoir sur un fonctionnement automatique de vos sens.

 

Conclusion

 

Pour conclure, il s’agit d’une invitation à lire le monde autrement. Nous avons toutes et tous cette capacité de le faire et il me semble important de le rattacher à notre réalité physiologique, à notre santé en prenant le réflexe de ce distancier de fonctionnements inconscients ancrés à la fois depuis notre plus tendre enfance mais aussi vous l’aurez compris de génération en génération. L’objectif est donc de se distancier de cette réalité-là pour reprendre le pouvoir sur notre environnement et donc reprendre le pouvoir sur notre santé.

 

 

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