DOPER SA FOI POUR RÉUSSIR [8 CLÉS]

Pourquoi doper sa foi pour réussir ? Parce que le contexte actuel nous y invite.

 

 

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Comment doper sa foi pour réussir ?

Comment croire en soi et ne pas faillir ?

 

Alors, on pourrait se poser la question : pourquoi parler de foi ?

On pense avec Sébastien que la foi est certainement l’une des clés, si ce n’est LA clé la plus précieuse dans toute réussite.

 

Quand on parle de foi, il est pas question ici de parler de religion mais plutôt de spiritualité dans le sens ce qui nous anime profondément.

 

Et donc on avait envie de partager dans cette vidéo quelques clés pour doper sa foi, c’est-à-dire la foi que l’on a en soi.

 

Et c’est absolument essentiel, notamment quand on est mais pas que, mais notamment quand on est entrepreneur, de pouvoir nourrir une foi solide qui va nous permettre un accomplissement solide, pérenne.

 

Alors déjà, sachez qu’il y a plusieurs types de foi :

• il y a la foi en soi,
• il y a aussi la foi en l’autre
• et après, il y a une foi qui nous dépasse, c’est-à-dire comme si l’univers ou un dieu nous avait donné une mission à accomplir qui dépasse notre propre personne.

 

La foi, c’est de dépasser les échecs.

 

C’est vraiment une vision long terme de la réussite, c’est-à-dire qu’on peut louper 100 fois, 1000 fois, 10000 fois mais la 11 millième fois, à un moment donné, on va réussir.

 

Quoiqu’il arrive, je vais continuer. Quels que soient mes résultats, je vais continuer parce que je sens dans mon cœur que c’est ça qui me porte.

 

C’est pas une question d’égo mais une question de cœur.

 

L’égo est plutôt dans le cerveau, le mental.

Le cœur, c’est vraiment ce qui nous donne de la joie, ce qui nous donne de l’inspiration, ce qui nous donne de la puissance aussi.

 

Donc doper sa foi va être d’avoir un projet long terme, et je saurai qu’il y aura des embûches sur le chemin que je vais résoudre.

 

Et on va vous donner des conseils pour doper encore plus votre foi et moins subir les contraintes au quotidien.

 

Et la foi, finalement, c’est la certitude d’être au bon endroit, d’être sur le bon chemin et de dérouler ce que l’on a à dérouler.

Et quand on parle de réussite avec un supplément d’âme, ce supplément d’âme est nourri par cette foi dans le triptyque des dimensions que Seb vient d’expliquer.

 

Il faut comprendre quelque chose de très simple, c’est qu’on nait avec cette foi, c’est-à-dire qu’enfant, on a la foi.

 

Et il se passe un phénomène incroyable, c’est que dès qu’on commence nos premiers pas vers le monde adulte, c’est-à-dire à peu près vers l’âge de 7 ans, on perd cette foi que je pourrais qualifier de naturelle parce qu’on commence à être soumis à des peurs, à des émotions qui nous font douter.

 

Et petit à petit, cette foi que j’ai qualifié de naturelle s’étiole parce que le monde adulte tente de nous mettre dans un carcan, de nous imposer ses schémas, de nous donner ses règles.

 

Et l’enfant, pour recevoir l’amour de ses parents, n’a d’autre choix que de respecter ces règles, ces schémas, ces carcans.

 

Et donc du coup, il ne laisse plus cette puissance naturelle s’exprimer, alors que pour autant, cet enfant qui ne savait pas marcher est tombé 2000 fois avant de pouvoir réussir à marcher.

 

Donc il avait la foi de réessayer à chaque fois puisqu’il est tombé en moyenne 2 000 fois.

Vous êtes tombé en moyenne 2000 fois avant de savoir marcher.

 

Donc vous avez bien compris que la foi, c’est quelque chose de long terme, c’est toujours de croire en soi.

 

L’enfant a toujours cru en lui, et vous êtes adulte, et vous avez marché.

 

Et finalement, quand on dit « Comment acquérir la foi ? », la bonne formulation serait plutôt « Comment la réanimer ? » car elle est complètement en nous.

 

Quel lien peut-on faire maintenant entre la foi et la réussite ?

 

On sait très bien que plus on a la foi, c’est-à-dire ce feu ardent à l’intérieur qui brûle, moins le stress va pouvoir agir, moins les situations difficiles vont pouvoir abaisser notre énergie.

 

Ce qu’on sait aussi, c’est que si on a un manque de foi, on aura un stress qui va augmenter plus rapidement.

 

Donc il y a vraiment un lien de cause à effet.

 

Et si on a un stress qui augmente, si on a un stress qui est très présent, ça alterne nos décisions parce que la peur va grandir.

Donc on va faire des décisions plus petites, des actions plus petites.

On va douter. On va pas oser aller jusqu’au bout.

On va regarder nos résultats.

On va se comparer tout le temps.

 

Et du coup, petit à petit, on va ternir son ambition, on va ternir son projet, on va diminuer nos performances.

 

Une étude de l’OCDE qui dit qu’une personne sur six en Europe est soumise à un problème de santé mentale.

Vous imaginez ? C’est absolument colossal.

 

Et donc densifier sa foi pour réduire son stress et réduire les facteurs de risque vers des problèmes de santé mentale nous semble quelque chose de très très important.

 

Donc maintenant, on va vous donner des conseils majeurs pour développer votre foi.

 

Il faut comprendre que, quelque part, la foi, c’est un muscle. C’est un muscle qui doit s’entretenir.

 

Au début, si vous ne faites pas d’exercice, évidemment le muscle est quasiment inexistant.

On ne le voit pas mais pour autant, il est bien là.

 

Et dès que vous vous mettez à faire de l’exercice, ce muscle commence à prendre de l’importance.

 

Pour la foi, ce sera exactement la même chose.

 

Donc on va vous aider, avec ces 6 conseils ou 7 conseils, à muscler votre foi pour ensuite réaliser les plus belles choses pour vous dans votre vie.

 

Conseil n°1 : avoir la foi, c’est le décréter.

C’est pas se dire « Si un jour j’ai la foi, je ferai ceci ou cela ».

 

Non, c’est décréter qu’on a cette force en nous, ce fluide en nous, cette puissance en nous, et qu’elle est là pour nous animer. Donc décrétez que vous avez la foi.

 

Conseil n°2 : « attacher son chameau »

Qu’est-ce que ça veut dire, attacher son chameau ?

 

Pendant la route de la soie, tous les soirs, il fallait attacher son chameau avant de repartir le lendemain.

 

Et un jour, un des serviteurs n’attache pas le chameau et le lendemain, celui-ci a disparu.

 

Et là, le serviteur s’excuse devant son maître en lui disant « Désolé, j’ai pas attaché le chameau hier. Mais de toute façon, comme vous m’avez dit ‘Allah est grand, Allah est grand’, j’ai pas besoin d’attacher le chameau ».

 

Il lui a dit « Non, tu as fait une erreur en fait, parce que Allah est grand, ça c’est sûr, mais toi, tu n’as pas fait ton rôle. Ton rôle, c’était d’attacher le chameau et après ensuite, à Allah de le protéger des voleurs, des autres animaux pendant la nuit ».

 

Mais la conclusion, c’est que pour doper sa foi, il faut faire sa part.

 

Il faut quand même agir, c’est-à-dire que si vous avez juste la foi mais que rien ne se passe, que vous n’utilisez pas vos membres pour agir, pour essayer d’inspirer, pour donner, pour servir, ça ne servira à rien.

 

Donc avoir juste la foi et rester chez vous, non.

 

Cette foi, vous devez en faire profiter le monde, c’est-à-dire qu’elle doit vous servir à irriguer, à diffuser votre projet au monde qui vient servir les autres.

 

Conseil n°3 : revenir dans le moment présent

C’est un sujet qu’on aborde souvent : dès que le doute arrive, revenez à l’instant présent.

 

Revenir à l’instant présent, c’est finalement faire confiance en la vie.

C’est accorder notre confiance absolue en ce qui va nous arriver.

 

Donc doper sa foi, c’est vivre dans le moment présent.

 

Ensuite, c’est ne plus se positionner en victime.

 

On est toujours victime de quelque chose, victime de l’autre, victime d’une situation, victime de l’univers, victime de tel ou tel événement.

 

Il faut juste comprendre que :

• nous sommes les créateurs de notre propre vie,
• nous sommes les créateurs aussi de projets pour aider le monde,
• et nous allons rencontrer des tempêtes.

 

Pensez juste que le chemin est long et pensez que la foi, elle est sur le long terme.

 

Les tempêtes vont vous apporter de nouvelles marches pour grandir.

Donc si vous n’avez pas de tempête, c’est un problème.

 

En avoir, c’est plutôt une opportunité de grandir, d’être une meilleure personne et de trouver des parades pour gravir la montagne.

 

Et après la tempête, rappelez-vous : le beau temps.

 

Conseil n°5 : nourrissez-vous

Finalement, dans notre quotidien professionnel, on passe beaucoup de temps à donner, parfois pour certains jusqu’à se vider.

 

Donc pour densifier sa foi, il est important de se nourrir, par des lectures, par des rencontres, par des vidéos, par des livres. Mais nourrissez-vous autant que possible pour pouvoir densifier j’ai envie de dire votre réservoir de foi.

 

Conseil n°6 : repérez les éléments qui diminuent votre foi

Ça pourra aussi être des éléments qui abaissent votre confiance en vous.

 

Ça peut être dans votre entourage, vos amis, dans des conférences, dans le milieu professionnel, des émissions négatives que vous regardez.

 

Repérez tout ce qui vous fait baisser votre énergie globalement parce que ces éléments-là, il va falloir trouver des parades pour que ce ne soit plus le cas parce qu’à chaque fois, votre réservoir diminue donc du coup, la grandeur de votre projet diminue aussi, et vous arrivez à douter.

 

Plus vous doutez, moins vous avez de résultats : c’est le cercle vicieux.

 

Donc repérez tout ça, essayez d’en supprimer un maximum et d’en modifier une autre partie.

 

Conseil n°7 : connectez-vous à votre cœur

La foi ne se densifie pas par le mental.

 

Il est important d’être sur une autre onde, et celle de votre cœur va vous apporter les bonnes réponses.

 

Donc apprenez à vous mettre en configuration d’écouter votre cœur, par la cohérence cœur-cerveau, par la méditation, ou tout simplement, ça peut même se passer en réunion de façon tout à fait personnelle j’ai envie de dire, la respiration.

 

Utilisez la respiration.

 

Mettez en place une respiration un peu plus profonde qu’à l’habitude et vous verrez tout de suite que vous allez gagner en clarté.

 

Donc écoutez votre cœur pour doper la foi qui est en vous.

 

Conseil n°8 : servez le monde

C’est peut-être le plus grand moyen de doper votre foi : servez l’autre, servez le monde.

 

Qu’avez-vous envie d’accomplir ?

Quel impact avez-vous envie de laisser sur Terre ?

Quelle cause avez-vous envie de servir ?

Si vous parlez à vos petits enfants à l’âge de 80 ans, qu’est-ce que vous aimerez leur laisser comme message ?

 

C’est en pensant à tout cela que vous allez vous dire « Si je le fais pour moi, le courage et la foi sont moins importants. Maintenant, si je le fais pour l’autre, si je sais pourquoi je dois le faire, si je sais que c’est ma mission, si je sais que je suis poussé dans le dos à chaque fois que je fais ça même si c’est dur, je vais rester parce que je sais que c’est ma mission et je n’ai pas le droit de flancher ».

 

Pensez à cela tout le temps quand vous faites quelque chose, quand vous savez que c’est dur, pensez à l’autre, à ce que vous allez lui donner.

 

Et là, vous voyez le sourire qu’il peut vous apporter et là, ça vous donne de l’énergie supplémentaire.

 

En conclusion, retenez que la puissance de la foi qui est en vous va déterminer votre réussite.

 

Donc prenez le temps d’appliquer ces 8 conseils, qui sont finalement accessibles à tous.

 

Ils seront d’autant plus impactants que vous les appliquerez avec régularité, comme des mantras, des rituels qui vont vous nourrir et amplifier votre socle.

 

À très bientôt.

 

 

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marylise sébastien